Arielle
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: bybabaorum, Source: Literotica
... notre couple. Une année de plus et sa désagrégation était complète. Quoi donc me retenait encore dans ce bled tranquille et morne? Pour la mettre en vente, il faudrait cependant que je l'entretienne davantage...
J'entendis deux coups secs frappés à la porte de la cour. Je fus un instant à douter de ce que j'avais entendu. Je n'attendais personne, recevant rarement à l'improviste, alors...
Le lecteur comprendra aisément que j'eus de la difficulté à garder ma contenance en allant ouvrir et en découvrant une jolie demoiselle drapée d'une petite robe d'été d'un rouge cerise. Elle arborait ce joli sourire que je connaissais pour l'avoir rencontré quelques jours auparavant.
- Arielle!
- Monsieur Den...
- Jean, je te rappelle... Mais, chère, on dirait que tu te trompes de porte. Jérôme, c'est à côté, lui répondis-je sur un ton léger, que j'espérais sans enthousiasme trop apparent.
- Oui, ... Jean... Je ... Eh bien! il n'y a personne chez Jérôme. Nous avions rendez-vous, lui et moi, mais je crois être arrivée trop tôt : il doit être encore au tennis.
- Tu veux venir ici pour l'attendre? Cela ne me dérange pas.
J'aimerais taire ici le fait que j'étais absolument ravi de lui tenir compagnie, mais je ne le puis.
Sa tenue avait changé, en plus ajusté et simple. La robe en coton souple, très courte et moulée me laissait presque entièrement découvertes ses ravissantes cuisses. Elle était chaussée de sandales de cuir fin à talons plats. Mais ce qui retint ...
... davantage mon attention était son décolleté plongeant qui réduisait fortement le recours à l'imagination : sa poitrine était généreuse, d'une volupté à couper le souffle, avec une peau satinée d'un teint ambré uni même très bas entre ses seins, ce qui laissait croire qu'elle se faisait bronzer volontiers dans son plus simple appareil.
- Il fait si chaud... On cuit... Je resterais bien à l'ombre quelques petites minutes.
Sa voix se faisait lancinante, traînante en fin de phrases, se réduisant alors presque à un soupir. La situation et la conjonction de tous les attraits de sa personne me faisaient croire qu'en effet, le thermomètre avait soudainement grimpé de quelques degrés. Je me mettais à espérer que le match de Jérôme s'éterniserait.
- Tu veux boire quelque chose?
- Je ferais plutôt une petite saucette..., si vous le permettez... J'ai aperçu votre piscine de chez Jérôme l'autre jour. L'eau paraît si attirante. J'aimerais tellement... Mais... Je me disais que...
Elle allait ajouter quelque chose. Elle hésitait, comme si elle s'apprêtait à faire le grand saut. La suavité de sa voix et la candeur de son visage m'ensorcelaient toujours plus. En même temps, j'étais perplexe. Cette timidité soudaine, n'était-ce pas que...? : je la laissai continuer.
- Mais... euh... évidemment... C'est... que je n'ai pas de ... maillot...
J'avais cru le deviner, mais sans oser y croire. Je me raclai la gorge et fus tranchant :
- Je te passerais bien un maillot, mais je n'ai que ...