1. Arielle


    Datte: 06/09/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bybabaorum, Source: Literotica

    ... de petites auréoles foncées et de mamelons pointant bien haut vers moi. Un petit ventre rebondi. Entre ses jambes, un petit buisson bien carré, très noir.
    
    Derrière le rideau, je n'y tenais plus. Je déglutis avec difficulté et défis ma braguette, car mon pantalon, étroit tout à coup, me faisait mal. Ma verge jaillit, droite, chaude et affamée.
    
    J'ai bien connu quelques femmes dans ma vie, et des plus belles, mais celle-ci faisait de l'ombre à tous mes souvenirs. Mon coeur battait à tout rompre. J'avais la tête qui bourdonnait. Il faisait chaud.
    
    Je crus pendant un instant qu'elle levait les yeux vers la fenêtre où j'étais et, par réflexe, je reculai d'un pas. Bien inutilement, me fis-je comme réflexion, puisque j'étais dans l'ombre, parfaitement à l'abri derrière le store aux lattes entrouvertes.
    
    Elle descendit les échelons et son corps s'immergea, puis disparut. Comme elle faisait quelques brasses sous l'eau, je pus suivre l'image déformée et mouvante sous l'eau bleue.
    
    Après quelques minutes, elle revint à l'échelle, agrippa la rampe et se tira hors du bassin. Ma sirène remonta l'échelle sans hâte. L'eau s'écoulait en épousant ses formes généreuses. Elle leva les bras pour replacer ses cheveux vers l'arrière, offrant au soleil l'ovale parfait de son visage et ses seins triomphants.
    
    C'est à ce moment que j'éjaculai furieusement, longuement, complètement. Mon corps se crispa dans une extase foudroyante.
    
    Je rouvris les yeux alors qu'elle se penchait pour ...
    ... reprendre la serviette : ses seins tombaient, lourds, délectables dans leur grâce. Elle s'essuya longuement chaque partie du corps, s'épongeant doucement. Étonnamment, elle esquissa un pas de danse joyeux, puis en deux enjambées disparut sous la corniche.
    
    Je restai en place longuement, saisi d'émerveillement, son image imprimée sur ma rétine.
    
    Je me secouai tout à coup : et si Arielle se décidait à entrer dans la maison et ne me trouvait pas devant le téléviseur?
    
    Je dévalai les premières marches et m'arrêtai, les sens en alerte. Rien ne se passait, si ce n'est que les commentateurs survoltés s'extasiaient devant la reprise du but qui venait d'être marqué.
    
    Puis deux coups à la porte-fenêtre. J'entendis :
    
    - Au revoir, Monsieur... Jean! Je crois que Jérôme arrive. Je me sauve. Merci!
    
    Je bredouillai une réponse, mais en vain : elle était déjà partie. J'entendis la porte de la cour claquer, puis celle des voisins : elle retrouvait finalement son Jérôme.
    
    Cela constituait pour moi une fin abrupte et décevante : j'aurais aimé lui causer un brin, pour me remplir encore les yeux et les oreilles de sa personne. J'étais loin d'être rassasié.
    
    Je sortis à l'arrière et trouvai le désordre qu'elle avait semé sur son passage : la serviette jetée en tas sur une chaise, une flaque de lotion solaire renversée sur le sol à côté du flacon. Avec un sourire, je ramassai tout ça. Je fourrai mon nez dans la mousseline qui l'avait touchée et humai les restes de son parfum : je ...
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