Petit goût de "Revenez-y"
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
extracon,
cocus,
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... mais aussi ce « plus » qui me ronge l’esprit.
Mes coups sont si forts que ses gémissements se transforment en grondement.
Elle ouvre les yeux. Une seconde, elle semble surprise. Son regard va d’elle à moi comme si elle s’éveillait d’un rêve. Elle semble me découvrir.
Mon Dieu ! Non ! Et si elle revivait, au moins en partie, cette soirée ? Si dans son esprit, c’était Pierre qui la baisait devant la glace et pas moi ? Cet étonnement ! Cette surprise qui s’est transformée en gêne lorsque nous croisons le regard !
— J’ai trop chaud. Viens, allons dans la chambre.
Elle m’entraîne par la main. Elle va vers le lit, mais ne va pas dessus. Elle s’arrête contre le pied de lit. La barre métallique lui sert de repose-main. Elle se penche, écarte les cuisses, se cambre…
— Viens, mon chéri. Viens, j’ai envie.
Bien sûr que tu as envie, salope. Tu te croyais avec Pierre. Ce n’est que moi. Le miroir te dérange, mais tu veux garder au moins la position.Position de chienne qui attend d’être couverte.
— Ahhhh.
Je ne suis pas si gros, mais j’y mets toute ma force. Le coup de reins est au niveau de ma colère. Je suis entré d’une poussée. Je m’accroche à ses hanches.
— Ahhhh.
Nouvelle poussée. Mes doigts sont des griffes.
— Ahhhh.
Doucement Alain c’est ta femme. Pas n’importe quelle femme, même si pour l’instant c’est une pute que tu veux punir.
— Ça va ? Je ne suis pas trop fort,
On ne se refait pas ! Je ne suis pas du genre brute épaisse même si ...
... parfois Sandrine m’engage à la baiser avec violence, à la limite de la brutalité, acceptant des claques sur les fesses et parfois quelques coups d’une cravache aux lanières de soie.
— Non. Non. Continue. J’aime bien.
Ah, tu aimes ! Mes coups te rappellent ton amant! Sa grosse bite ! Ses poussées brutales !
Je ne me retiens plus. Chacune de mes avancées secoue la femelle qui s’accroche à la barre métallique comme à une bouée pour ne pas être emportée par ces vagues qui traversent mon esprit, jaloux, mais aussi excité, avant de déferler.
— Oui. Comme ça.
Et elle m’encourage, la pute ! Son infidélité lui a délié la langue. Au moins cela aura servi à quelque chose.
— Tu aimes ?
— Oui. C’est bon.
Pas besoin de l’encourager. Elle gronde et parfois ponctue sa respiration par des : « Ouïe! Encore…».
La pute ! La salope ! La garce ! L’infidèle !
Si je ne l’avais vu avec Pierre à travers ce miroir, je pourrais penser que c’est à moi qu’elle s’adresse. Mais non, c’est lui qu’elle encourage. Les « chéri, continue » sont pour lui. Chacun de ces « chéri » me déchire le cœur et me rend fou de jalousie. C’est bien pire qu’une infidélité, c’est une trahison. Même si elle ne le pense pas vraiment, le « chéri » sert de prétexte pour revivre son aventure.
— Je viens… Je viens… Continue. Continue… Ahhhh, c’est bon… Chéri, c’est bon…
Je continue, bien sûr. Sa jouissance est magnifique. Moi aussi j’ai envie de jouir et d’inonder la chatte de mon jus. Un peu comme l’autre ...