1. Prise devant mon mec (3)


    Datte: 30/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... remarquer. Il a retiré sa main souillée de mes liquides intimes, l’a portée lentement devant son visage pour la humer, puis il l’a approché de mes lèvres.
    
    — Lèche ta propre chatte.
    
    J’ai fait non de la tête, mais encore une fois il n’en a pas tenu compte. Il a déposé sa main sur mes lèvres et je les ai entrouvertes par réflexe, incapable de lui résister en aucune manière. J’ai bientôt goûté à pleine bouche ce qu’il me tendait, nettoyant consciencieusement chacun de ses doigts à tour de rôle.
    
    — C’est bien, t’es une bonne petite pute. T’as aimé, hein ?
    
    J’ai fait non de la tête en séchant mes larmes, mais cela n’a pas réduit son sourire, bien au contraire. Il a alors baissé son pantalon, laissant apparaître son sexe déjà dressé en une impressionnante érection.
    
    — A ton tour : suce-moi, bébé !
    
    J’ai bêtement commencé par refuser, comme si j’avais encore la moindre influence sur ses décisions et sur le cours de ma propre vie, mais Nabil m’a susurré un simple « chuuut… », puis il a glissé sa main dans mes cheveux pour faire doucement pression sur l’arrière de mon crâne. Soumise, ravalée même au rang de simple marionnette entre ses mains perverses, je me suis exécutée en me penchant docilement vers son membre dressé.
    
    Parvenue à quelques centimètres de son gland violacé, j’ai marqué un nouveau temps d’hésitation : je ne pouvais quand même pas faire ça, dans la voiture d’un quasi-inconnu, moi qui n’avais jamais fait de fellation à Hugo, mon petit ami que j’aimais ...
    ... plus que tout ! Je ne lui aurais jamais prodigué ce petit plaisir à lui, qui pourtant était doux, tendre, et prenait soin de moi au quotidien, mais je m’apprêtais à le faire à ce salopard de Nabil !
    
    Une nouvelle pression sur l’arrière de ma tête a coupé court à mes réflexions et j’ai refermé mes lèvres autour du gland tendu dans ma direction. Il était gros, mais heureusement son goût n’était pas désagréable. J’ai entrepris de le suçoter comme l’attendait manifestement Nabil, mais ça ne lui suffisait pas encore. Il a appuyé encore un peu plus fort sur ma tête, si bien que je me suis retrouvée malgré moi avec sa bite qui me tapait contre la glotte !
    
    J’ai essayé de me retirer, craignant d’étouffer, mais il m’a maintenue en place quelques instants. Son plaisir semblait à la mesure de mon dégoût, si j’en crois les râles qu’il lâchait sans retenue. Lorsque enfin il m’a libérée, je me suis relevée d’un coup et j’ai avalé une grande bouffée d’air. De la bave me coulait sur le menton, mais je n’en ai guère tenu compte, trop concentrée sur ma respiration.
    
    Nabil ne m’a de toute façon pas laissée me rendre plus présentable. Il s’est de nouveau saisi de ma tête dès qu’il a jugé que j’avais suffisamment récupéré, puis il m’a incitée à continuer. Toujours aussi docile, je me suis exécutée comme une idiote.
    
    Il m’a davantage laissé faire cette fois, ne me maintenant même plus la tête en place. C’est donc de ma propre initiative que je suis allée et venue sur sa tige, pompant, ...