1. Prise devant mon mec (3)


    Datte: 30/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... de ma fente, doucement, et je n’ai pas pu retenir un frisson lorsqu’il a effleuré mon clitoris. Mais qu’est-ce qui m’arrivait ? Comment pouvais-je ressentir du plaisir dans une telle situation ? Le pire est sans doute que j’étais tétanisée, incapable de le repousser ou même de protester.
    
    Pour la première fois, une idée étrange m’a traversé l’esprit : n’étais-je pas heureuse, au fond, de la manière dont il se comportait avec moi ? Cela ne me plaisait-il pas d’être « forcée » ? Et non seulement ça me plaisait, mais ça me fournissait aussi une excuse bien commode : en tant que « victime », je n’étais pas coupable…
    
    J’ai immédiatement repoussé cette idée stupide au fond de mon esprit, mais je ne suis plus parvenue à m’en défaire totalement à partir de là. Et les caresses de plus en plus insistantes de Nabil ont fini par m’arracher un gémissement de plaisir, qui a franchi mes lèvres bien malgré moi. J’aurais voulu me gifler, m’arracher la langue même après ça, mais il était trop tard.
    
    Nabil a souri, plus carnassier qu’humain, et sa main sur ma poitrine est devenue plus ferme, presque brutale.
    
    — T’aimes ça, grosse cochonne ! m’a-t-il asséné.
    
    Dépitée, les larmes aux yeux, j’ai fait non de la tête, mais son sourire n’a pas diminué. Il me tenait et il le savait. Nous le savions tous les deux. Ses doigts se sont activés sous ma jupe, de manière de plus en plus hardie. Malgré moi, j’étais presque étonnée des caresses qu’il me prodiguait. Même si ce n’était pas ...
    ... particulièrement tendre, cela n’en restait pas moins à sens unique, et pas dans le sien. Ceci étant, il semblait prendre beaucoup de plaisir à profiter ainsi de mon corps offert sans résistance. Je n’ai pourtant pas tardé à comprendre que l’objectif était tout autre.
    
    Des sensations étranges, incohérentes, sont bientôt venues m’assaillir. En d’autres circonstances, j’aurais cru qu’un orgasme foudroyant approchait. Mais ça ne devait pas être ça. Ça ne pouvait pas être ça ! Pourtant, tous les signes étaient là : j’ai commencé à me tortiller en tous sens, à gémir sans pouvoir m’en empêcher, et plus mon corps tentait d’échapper de lui-même aux caresses de mon « agresseur », plus sa prise se resserrait. Bientôt, je n’ai plus tenu : un spasme violent a secoué tout mon corps. J’ai senti mon entrejambe entrer en éruption et inonder la main de Nabil d’une abondante cyprine. Comme si ça ne suffisait pas, des hurlements de plaisir se sont échappés de mes lèvres et ont porté à son comble mon humiliation. Je me suis dandinée en tous sens, incapable de me contrôler. Je criais comme une furie, comme jamais je n’avais crié avec Hugo… Mais que m’arrivait-il ?
    
    Quand mon exubérant orgasme s’est enfin calmé, des larmes ont commencé à couler le long de mes joues. Je me sentais bien plus faible et ridicule que la veille, lorsque je m’étais avilie devant lui. Au moins ne lui avais-je pas montré que j’avais aimé ça. Alors que là…
    
    Nabil, bien sûr, n’en a tenu aucun compte ; il n’a même pas semblé le ...