Le mariage de mon cousin
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
oncletante,
groscul,
poilu(e)s,
jardin,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Pedro, Source: Revebebe
... accepta mes caresses sans bouger.
— Tu es gentil, mon chéri, bégaya-t-elle entre deux sanglots. Continue, mon Robert, ça me fait du bien.
Puisque ma thérapie semblait lui convenir, je continuai de lui masser le crâne, descendant de plus en plus bas, au niveau de sa nuque.
— Hum, c’est bon, murmura Marie d’une toute petite voix.
Puisque ma malheureuse tante avait l’air d’apprécier mes caresses, je tâchai de la réconforter par ce seul moyen que j’avais trouvé. Insensiblement, je laissai mes mains descendre de plus en plus bas sur les épaules rondes et encore fermes.
Mais au bout de dix minutes de ce manège, je demeurai stupéfait en sentant au bas de mon ventre une transformation bien connue. C’était incroyable, voilà que je commençais à avoir une érection ! Heureusement que ma tante, assise sur son fauteuil et me tournant le dos, ne pouvait s’apercevoir de mon étrange excitation. Je continuai néanmoins à lui caresser les cheveux et la nuque, comme un con.
Le corps de ma tante ne m’avait jamais fait fantasmer. À cinquante ans, avec son gros fessier et ses petits seins, tante Marie n’était pas ce que l’on pouvait appeler une beauté. Ses cheveux grisonnants et quelques rides autour des yeux n’ajoutaient rien à son sex-appeal déjà inexistant. Peut-être que trente ans plus tôt elle avait fait tourner la tête aux hommes, Eugène en était la preuve, mais aujourd’hui il ne restait pas grand-chose de sa séduction.
Ça faisait maintenant bien dix bonnes minutes que ...
... je massai le crâne et la nuque de ma parente et, étrangement, dans mon slip, ma virilité avait pris des proportions énormes. Il est vrai que, du fait de l’immobilité de Michèle suite à son accident, j’étais en retard d’affection.
Soudain, Marie se leva de son siège. Les yeux rougis par les larmes elle prit mes mains dans les siennes pour les caresser et, dans un geste plein de tendresse, elle les porta à ses lèvres pour les embrasser :
— Je suis contente que tu sois là. Je me sens si seule dans ces cas-là…
J’essayai de retrouver un semblant de conversation.
— Est-ce qu’au moins tu as des activités ? Est-ce que tu as des copines, pour voir autre chose ?
— Tu sais, ici, c’est la campagne. On est vraiment seul, et les problèmes, on se les garde…
Et comme si ses confidences avaient ravivé ses peines, tante Marie se remit à pleurer comme une fontaine.
— Tu t’imagines quelle vie que j’ai ? Toi, tu peux aller au cinéma ou au théâtre… Tu y vas quand tu veux, avec ta femme, tes gosses. Tu me vois, moi, aller seule au théâtre ? Imagine ici.
De très longs soupirs baignaient ses larmes. Et alors que je cherchais vainement comment consoler ma parente, celle-ci passa ses bras potelés autour de mon cou et posa sa tête contre ma joue. Ne sachant pas vraiment quelle contenance adopter, je l’enlaçai tendrement et je lui massai doucement le dos, comme je l’aurais fait avec une enfant apeurée. Cela dura bien cinq bonnes minutes, avec pour musique de fond les ronflements ...