1. La fuite


    Datte: 26/08/2019, Catégories: ff, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, fdanus, Humour Auteur: Schtroumph à lunettes, Source: Revebebe

    ... jusqu’à goûter goulûment aux seins de Claudie qui pendaient vers elle.
    
    Les deux dames se pelotaient donc avec tendresse et affection, et comme leurs bouches étaient pleinement occupées, allant d’un sein à l’autre, mutuellement, elles n’émettaient que des sons sourds mais ô combien révélateurs de plaisirs intenses. Le rythme s’accélérait, lentement mais sûrement, et les corps fusionnaient autant sous l’emprise des caresses qu’en raison de la chaleur du moment.
    
    Après quelques minutes de leur manège, Claudie inversa sa position et offrit à Brigitte une chatte toute chaude et lubrifiée plus qu’il ne le fallait. Sa cyprine, au goût salé mais combien suave, comblait Brigitte qui elle-même était parfaitement comblée par les coups de langue et le cunnilingus de Claudie.
    
    Afin de compléter le tout, cette dernière inséra dans le petit œillet de Brigitte son index, puis son majeur une fois la première dilatation complétée. Ce ne fut pas long, après ce dernier assaut, pour que Brigitte rende les armes et atteigne un orgasme dont les soubresauts s’étendirent sur la surface de l’eau. Ce qui acheva de combler Claudie qui la rejoignit dans le plaisir intense et unique qu’elles venaient de se donner.
    
    De mon observatoire involontaire, j’étais envahi par ...
    ... un sentiment mixte. D’un côté, la perversité des étreintes me stimulait au plus haut point et une érection digne de ce nom me titillait Popaul depuis quelques instants déjà. D’un autre côté, une immense déception m’envahissait puisque la femme qui avait animé mes fantasmes se révélait être attirée par les femmes.
    
    Les deux protagonistes des ébats amoureux dont je venais d’être témoin se remirent de leurs émotions en se jetant dans l’eau fraîche de la piscine. Elles barbotaient et s’échangeaient de tendres baisers, les langues se liant et se déliant dans un ballet dont la chorégraphie était digne de Baryschnikov. Elles restèrent ainsi de longs moments enlacées puis se laissèrent glisser sur des matelas flottant afin de prendre un repos bien mérité.
    
    Quelques secondes suffirent pour que l’un des matelas rende l’âme. Un petit orifice ayant laissé s’échapper de l’air, il ne put supporter le poids, léger certes mais poids quand même, de Claudie.
    
    — Ne t’en fais pas, lui dit Brigitte. J’en ai un autre dans la remise.
    
    Et joignant le geste à la parole, voilà qu’elle dirige son frêle esquif vers le bout de la piscine et en sort vivement.
    
    Ce fut une naïade tout aussi surprise que moi qui me fit alors face, une fois qu’elle eut ouvert la porte… 
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