La fuite - Histoires de Sexe

La fuite

... rétrograder les deux baigneuses dans leur demeure. Je pourrais ainsi paraître crédible dans mon état mouillé et je pourrais sauver la face.

Le soleil continuant à irradier de tous ses feux, les deux filles s’installaient sans remarquer les pièces à conviction que j’avais laissé traîner. Pendant que Claudie commençait à se mettre à l’aise, Brigitte lui rappela les consignes de la fin de semaine…

— Tu n’oublies pas notre entente : week-end PMPC (pas de maillot, pas de culotte).
— Oh ma coquine, je vois qu’on ne veut perdre aucun moment, répliqua Claudie avec une lueur dans le regard.

Les deux filles se dévêtirent donc complètement et s’installèrent sur les chaises longues qui s’offraient à elles. Claudie s’approcha de Brigitte, couchée sur le ventre. S’asseyant sur ses fesses, elle sortit un pot de crème solaire et commença à en étaler sur tout le dos de sa copine. Elle prenait son temps, détaillant le corps musclé et bronzé de sa meilleure amie, s’étonnant de la tonicité des muscles qui contrastait avec la douceur de la peau. Il n’y a pas à dire, rien ne vaut l’épiderme d’une femme.

Elle fit s’écouler le liquide protecteur le long de la colonne vertébrale, sensuellement, dessinant des formes coquines en laissant Brigitte deviner de quoi il s’agissait. Elle en profita pour masser tendrement les muscles et le dos de Brigitte, qui commençait déjà à frissonner de plaisir sous l’effet de ce tendre massage. Le soleil, le rosé et l’amour mettent toutes les chattes du ...

... monde en extase.

Brigitte commençait à sentir monter en elle l’excitation et se mit à écarter les cuisses. Claudie en profita pour y commencer son œuvre, étendant doucement la crème solaire sur l’intérieur des cuisses de sa copine, en faisant bien attention de ne pas s’approcher des zones érogènes de sa partenaire. Il fallait faire monter et durer le plaisir.

Une fois le verso traité, elle demanda à Brigitte de lui exposer son recto, afin de compléter l’œuvre anti-UV. Cette dernière ne se fit pas prier et ce sont deux seins droits et bien tendus qui lui firent face. Fermes, de dimension moyenne mais satisfaisante, ces seins-pommes étaient surmontés chacun d’un mamelon bien pointu. L’aréole qui l’entourait invitait la bouche à la dégustation. Claudie les dévora donc comme on attaque une pêche, avec l’espoir de savourer le fruit dans son état optimal, bien mûr et juteux.

Pendant ce temps, Brigitte ne restait pas inactive et commençait à se caresser d’une main tout en tendant l’autre pour explorer l’intimité de Claudie. Ses doigts rencontrèrent une toison bien entretenue et douce au toucher. Elle constata rapidement que Claudie était à l’unisson de ses sentiments puisqu’elle avait commencé à produire cette cyprine à l’avant-goût d’extase. Elle titilla son bouton d’amour et explora minutieusement d’un doigt, puis de deux, les lèvres entrouvertes de son amie. Elle reproduisait pour Claudie, en miroir, les plaisirs que celle-ci lui procurait. Elle poussa même la réciprocité ...