1. Le Donjon (1)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... tu aimes les boules. Celles de cette glace framboise que tu as si goulûment léchée devant moi en sortant du club. Tu me faisais des effets de langue explicites avec la mousse rose sur tes lèvres, aux commissures de ta bouche. Te regarder me titillais l’entrejambe, j’avais hâte de mettre mon gland sous ta langue à la place de ces boules rose vif. Et, ça ne manquait jamais dans ces rêves, je te voyais à quatre pattes et te pénétrais ce cul de chienne en chaleur. Mon rêve l’imaginait ouvert, gigantesque, un gouffre de l’enfer.
    
    — Il m’est arrivé souvent sur ces rêves, d’éjaculer en dormant. Tu comprends ?
    
    (…) A la pétanque, lorsque tu te baisses, que tes seins balancent sous ton T-shirt… Je me demande toujours s’ils vont pointer ou si tu vas tirer. Entre les deux, tu balances longuement pour moi. Car tu sais que je ne les quitte pas des yeux, tu fais durer. Tu te tournes, soi disant pour viser mais c’est pour mieux me les présenter, jouer la transparence de ton t-shirt dans le contre-jour.
    
    - Oui ! Dans mes rêves, je sais que tu fais ça pour moi. Tu vois c’est décousu comme tous les rêves … Anna ! Dis moi. ça t’excite ?
    
    - Mmm Oui, Continuez…
    
    (…) Après avoir mille fois tripoté mes neurones, des millions de réflexions plus tard, je décidais d’un cadeau pour toi, ma salope. Un cadeau empoisonné. Te faire monter par Keliman, l’étalon! J’avoue que je prends un gros risque. Celui que tu y prennes goût, et que ma queue à moi dans ton con, ne tienne plus la comparaison. ...
    ... Me quitter pour un pur-sang ? Je ne suis pourtant pas si mal monté que ça, s’pas ?
    
    - Dans ce rêve-ci, quel dialogue !
    
    - Tu la veux dans le cul ? Mais tu gueules déjà avec ma queue.
    
    - Pas grave, j’ai envie d’avoir mal, je veux hurler à la mort.
    
    Par les cheveux, ma traînée, je te tire dans le box de Keliman le mâle. Les clientes le surnomment bite d’acier, elle disent qu’au galop, quand elle pend et traîne à terre, on la voit faire des étincelles sur les silex.
    
    Le box est vide, Keliman repose tranquille à son anneau dehors, postérieures croisées, il sommeille. Refermant la porte doucement du bout de la botte, je te propulse, jambes et bras en croix, sur la paille. Tu t’y accroches, les brins te piquent la peau et t’excitent. Du bout de ma cravache, j’arrache ce qui te reste de fringues, des lambeaux de tissus. J’en profite pour en glisser la languette en cuir encore et encore entre tes fesses, m’arrêtant par instant sur ton trou déjà bien graissé de ta mouille, je le touche du bout, le réveille et en vois frémir les fronces. Alors, tu comprends ce qui t’attends et nous savons tous les deux que tu vas aimer ça. Keliman maintenant piaffe dehors, lui aussi a compris, le bruit l’a réveillé. Ils nous connaît et sait le plaisir que tu lui donnes en le branlant en cachette de tous.
    
    - Ne nie pas je t’ai vue !
    
    Sa trique sous le ventre, sa sombre bite touche presque le sol, elle en dit long. Brutale illumination, je change d’avis, une sacrée idée pour ma garce, je ...
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