1. Le Donjon (1)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... photos dégueulasses avec des chiens, des chevaux qui baisent des femmes, qu’elles leur sucent la bite et avalent tout. Beaucoup de scènes avec des chaînes, des fouets, du cuir. Une des femmes m’a dit que certaines images l’avaient fait dégueuler. Mais, je sais que plus tard, en cachette, elle est retournée dans ta chambre pour les revoir et se tripoter. Elle m’a dit qu’il y avait des pages, froissées, salies et marquées. Elle m’a dit lesquelles et je me suis régalé. Tu es une véritable obsédée, pas vrai ?
    
    - Oui Jieff, je suis obsédée de sexe ! Je ne pense qu’à ça et tout le temps !
    
    - 2 Les rêves.
    
    Je m’éclaircit la gorge…
    
    Bon, nous y voilà ! Passons aux choses sérieuses… Tu le sais, à temps perdu, j’écris. J’ai commencé ces jours-ci une histoire, à partir de vrais rêves que j’ai fait de toi… ça devrait te plaire, je veux te lire des extraits de mes notes pour t’exciter, moi aussi peut être.
    
    - mmmmm..Si v. vous voulez.
    
    - Je veux !
    
    Un rêve c’est décousu, en désordre, des lambeaux d’idées. J’ai essayé de le rendre vaguement cohérent en l’écrivant. Anna ! Je veux que tu te masturbes à mon texte, à ma voix, Remue tes reins, ton bassin, tes fesses, je veux te voir, t’entendre gémir, je veux te voir gigoter. Je ne te lâcherai pas tant que je n’aurai pas vu ton con gicler sa mouille et ta jolie gueule de pouffe grimacer dans l’orgasme. Fais comme tu veux, mais tant que tu n’auras pas joui, je continuerai ma lecture.
    
    Je me mets à lire.
    
    " J’ai repensé à ce que ...
    ... tu me disais souvent : " Je veux monter à ton cheval ". Dans mon rêves tu étais Allemande et ta maîtrise approximative de notre langue rendaient bien souvent tes paroles savoureuses. Je me gardais bien de te corriger. Ainsi cette façon de me regarder dans les yeux en roulant, puis léchant le papier d’une cigarette pour moi.. Tu disais… Eine gutte pipe pour doi, ça ! Oh ja ja !
    
    Je pensais d’une part que tu faisais de très légers progrès en français, mais aussi qu’on avançait tout doucettement vers des trucs intéressants, sinon pire.
    
    ( …) Je sais que tu m’as longuement regardé l’autre jour sous la douche, au vestiaire du club.
    
    Oh miroir dis-moi qui se cache là, derrière la porte entrebâillée ! Ne serait-ce pas Anna la vicieuse du club  ?
    
    J’ai fait semblant de ne rien remarquer, mais je me suis tourné pour que tu voies comment j’étais monté, grosse bite, gros gland et grosses testicules brunes. Je me savonnais les couilles et faisais mousser mes poils. Je jouais longtemps du savon avec mes attributs. Ta présence supposée me faisait durcir et gonfler la queue, je la décalottais, exhibant à la lumière mon gland brillant orienté vers toi.
    
    Je me tournais et prenant une noisette de shampoing, je me caressais la fente du cul. Me présentant de profil, je laissais lentement mon doigt s’enfoncer dans mon trou pour que tu voies ma queue se dresser tandis que mon doigt devenu fou entrait, sortait et s’agitait dedans. Je me branlais le cul pour toi.
    
    (…) De toute évidence, ...
«12...567...17»