1. Le Donjon (1)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... poigne ferme je l’immobilise et la courbe en deux. Elle ne peut résister, elle n’entend que ma respiration rauque et un bref cliquetis métallique.
    
    - Qu…Qu… ? Sa voix s’étouffe.
    
    Je suis un vrai fakir et les chaînes sont pour moi de vulgaires serpents obéissants, d’un cliquetis elle est immobilisée. Un craquement de tissus déchiré, j’escamote sa robe d’été, ne lui laissant que slip et soutien-gorge.
    
    Elle hoquète…
    
    - Qu… Qu’est…ce… ? Ma main lui ferme la bouche pour la libérer aussitôt.
    
    - Tu me reconnais ? C’est bien moi que tu cherchais non ? Nous y voilà ! Nous sommes seuls toi et moi. J’ai tout prévu, les gardiens fermeront plus tôt que d’habitude. J’ai toute la nuit pour moi et demain est jour férié. Je hausse la voix : - Je dis bien, pour moi.. ! Toi tu n’auras que ce que je voudrais bien te donner. Petite curieuse, j’en sais assez sur toi, pour être certain de ne rien regretter, et toi non, plus je crois.
    
    - A propos, je m’appelle Jieff.
    
    Je t’avais enfin à ma merci dans mon donjon. Ces années là, j’avais accepté la restauration et la gestion de ce château-fort superbe, que j’ouvrais aux visites. Dans ce village du Lot les servantes faciles à trousser étaient rares et ici les touristes ne faisaient la plupart du temps que passer. J’étais ainsi sans cesse affamé de sexe. Bien sûr tous ces mois chauds je voyais passer des culs superbes, des fesses dodues débordant de shorts tendus, de gros nichons sans soutif se balançant à l’envie, des tétons bandés ...
    ... sous des tissus léger. Las ! Tout ceci aussitôt apparu, aussitôt disparu. Tu étais un cadeau bienvenu., providentiel.
    
    D’évidence tu étais là, toi, pour tout le mois, peut être la saison m’avait dit l’hôtelier. Je t’avais remarquée et m’étais fait le pari intime de te faire rester tout l’été, sinon plus. J’en bavais.
    
    Il est vrai que tu n’avais pas été une proie difficile. Les bruits qui courraient sur ton dos, les ragots : " Elle a un vagin en guise de cerveau " me faisaient saliver. Ainsi que des photos de toi que j’avais trouvées à notre troisième rencontre. Un restaurant où nous nous étions déjà croisé. Cette fois tu étais à une table non loin de la mienne, dans l’axe de mon regard. Tu me mettais mal à l’aise sur ma chaise en tournant tes jambes vers moi et écartant tes cuisses si largement et si fréquemment que, sans cesse, j’apercevais ton entrecuisse blanc et ta chatte poilue, à l’air libre dans l’ombre. Une garce qui ne porte pas de slip dans un lieu public. Sans hésitation, pendant que tu étais aux toilettes, discret, je fouillais prestement ton sac et me saisi d’une grosse enveloppe et de son contenu.
    
    Bonne pioche ! Une trentaine de photos. On t’y voyait à poils, en bronzage intégral. Prenant les poses les plus obscènes, tu exposais ton superbe cul, ton anus grand ouvert en nombreux gros plans baveux et bien dégueulasses, ta chatte épanouie, tes nichons aux larges tétons foncés sur lesquelles tu tirais, ta bouche ouverte aux lèvres humides et à la langue ...
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