Un corps de fille
Datte: 25/08/2019,
Catégories:
ff,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
fdanus,
jouet,
Humour
fantastiq,
fbi,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... pour avoir entendu maintes confidences sur le sujet, qu’entre filles cela pouvait aussi être fort agréable. Eh bien, j’allais vérifier cela. Il serait toujours temps, plus tard, de tâter du garçon, et j’étais bien décidée à ne pas m’en priver.
Mordiller la pointe de ses seins ; descendre les mains sur sa chatte encore humide ; écarter les grandes lèvres ; atteindre le clitoris ; le taquiner d’une langue alerte : Nathalie se tordait sur sa couche en balbutiant des encouragements. Remonter les mains sur ses seins ; les triturer, en pincer les tétons dilatés ; les tordre même un peu pendant que mes lèvres aspiraient son petit bouton d’amour, comme elle avait dit. J’aurais fait exactement les mêmes choses si j’étais resté un garçon. Mais après, je me serais introduit. Tiens, j’aurais d’abord, entre ses seins opulents, fait coulisser mon pénis. Mon clito était trop petit,bien trop petit, mon ami, dame oui comme dit la chanson bretonne. En outre, si je puis dire, en tant que fille j’avais entre les cuisses un vide à combler.
Mais cette grosse blonde paresseuse se laissait faire, passive. Ensuite, après avoir joui, elle était capable de me laisser en plan !
— Si tu veux plaire à mon frère, il te faudra être plus active que ça, ma vieille !
— Oh, mais c’est si bon ce que tu me fais !
— Si tu ne participes pas un peu, je te laisse te débrouiller toute seule.
— Oh non, Delphine, continue, je t’en supplie…
— Non.
Et je m’étendis près d’elle, les jambes ...
... entrouvertes. Elle me traita de chipie, me tordit la pointe des seins, ce qui fut pour moi un mélange de souffrance et de plaisir, tout en me laissant impassible en apparence. Puis elle se fit plus câline.
— Tu me feras jouir, au moins, après ?
— On verra.
— Méchante, méchante !
— Chatouille-moi.
— Hein ?
— Oui, chatouille-moi.
Delphine était chatouilleuse. Je me demandais s’il en était désormais de même pour moi. La réponse ne se fit pas attendre : affirmatif, comme disait Arès. Nathalie s’était juchée sur mon ventre plat, les cuisses de part et d’autre de mes flancs. Elle m’avait ordonné d’écarter les bras et me chatouillait les aisselles. C’était délicieux et insupportable à la fois. Je portai les mains à ses seins pour en pincer la pointe.
— Oui, souffla-t-elle, continue ! Plus fort !
Et elle fit de même avec les miens, le regard dur. Douleur et plaisir ainsi mêlés m’enchantèrent. J’attendis donc un peu pour m’intéresser à sa chatte entrouverte. Alors que je commençais à le pincer, son fameux "petit bouton d’amour", elle écarta les doigts, frissonna, et se laissa tomber sur moi, son imposante poitrine écrasant mes petits seins si durs alors que ses mains descendaient sur ma chatte avide de caresses.
Je m’ouvris pour ses phalanges.
— Tu mouilles, ma jolie ! me dit-elle.
— Et toi, donc !
Elle grogna qu’elle voulait encore mes lèvres et ma langue, et se souleva sur les genoux pour approcher son pubis de mon visage. Mes mains, appuyées sur ses seins, la ...