1. Les nuits de Paris


    Datte: 23/08/2019, Catégories: fh, ff, 2couples, intermast, Oral pénétratio, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... faire chanteuse.
    — Arrête, tu te moques de moi…
    — Pas tout à fait.
    — Je chante de temps en temps, mais j’ai pas une très bonne voix ; j’ai été dans des émissions radio pour amateurs, mais ça n’a pas pris.
    — Tu dois essayer encore.
    — Peut-être, mais bon !
    
    Elle me sert un whisky avec glaçons, et se sert un Coca.
    
    — Tu ne bois pas de whisky ? lui dis-je.
    — Non !
    — Jamais ?
    — Jamais. J’ai jamais été tentée.
    — Pourquoi ?
    — Je ne sais pas, mais je pense que si un jour j’étais ivre, je ne me réveillerais plus.
    — Pourquoi ?
    — Car je voudrais certainement oublier ma vie, oublier toute ma vie, mon enfance, mes parents, mon travail, tout !
    — Et pourquoi ?
    — Je te le raconterai un autre jour si tu veux ; mais ce soir, laisse-moi m’amuser.
    
    Elle se remet à chanter le refrain avec la chanson qui passe toujours à la radio (il faut dire que pour Warda, comme pour Oum Kalthoum, on a l’impression que les chansons ne se terminent jamais). Puis elle remet sa tête sur ma poitrine et pose sa main sur mon ventre. Lorsque je termine mon verre, elle m’en verse un autre puis elle allume une cigarette que nous fumons ensemble. Après le deuxième verre, l’effet de l’alcool m’a ôté mes dernières défenses : la preuve en est que je ne suis plus insensible aux charmes qu’elle m’expose. Sa voix me parvient plus douce et plus agréable, ses modulations légèrement mélancoliques paraissent remplir tout l’espace d’une complainte de l’existence qui ne laisse pas indifférent. Mes mains ...
    ... deviennent moites, ma respiration s’accélère, mon érection est visible. Soudain, elle me semble belle, tellement belle que je pense n’avoir jamais été à côté d’une fille aussi belle. Après avoir terminé mon verre, je mets une main sur sa cuisse et je la fais monter petit à petit vers son sexe. Elle fait comme un geste de résistance et serre ses jambes, mais j’insiste et, petit à petit, elle me laisse remonter vers sa culotte que je trouve toute humide. En même temps, elle déboutonne ma chemise et se met à lécher mon torse. Puis elle m’offre sa bouche et nous nous embrassons longuement. Je lui chuchote, en mordillant le lobe de son oreille :
    
    — Tu es chaude, salope…
    — Oui, tu me tues, répond-elle d’une voix essoufflée.
    — Qu’est-ce que tu attends ? Suce-moi.
    
    Rapidement mon sexe, teinté de pourpre, disparaît dans sa bouche. Elle me pompe un bon moment, en léchant mes bourses. Puis, de peur de me déverser prématurément, je me redresse et je lui enlève sa robe et sa culotte. Sans attendre, je m’agenouille à ses pieds et je lui sépare les jambes. Elle tend sa tête en arrière et se met à gémir doucement alors que je lèche autour de sa fente et que j’embrasse doucement ses cuisses. Je renifle longuement les émanations, corsées et agréables, de sa chatte humide. Dès que ma langue touche son clitoris, elle exhale un pur plaisir. Je commence à accélérer un peu. Je me barbouille le visage dans son doux nectar. Puis je me mets à claquer ma langue dans et hors sa boîte de jus jusqu’à ce ...
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