1. Fermez les parenthèses


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... doux.
    
    J’allais appeler mon mari, mais :
    
    — On ne va pas s’arrêter maintenant ; j’ai trop envie de toi. Trouve une excuse et allons chez moi.
    — Mais…
    — Tu n’as plus envie de moi ?
    — Si, mais…
    — Alors invente.
    
    J’improvisai. Un de mes premiers mensonges de femme infidèle. Je racontai qu’une des élèves de mon cours de natation avait fait un malaise et que j’étais à l’hôpital, attendant que son mari arrive. Au moment de dire une heure approximative, Nils – qui ne cessait de m’embrasser le cou – me souffla « Deux heures. » Malgré mon étonnement, je transmis. Jean ne protesta pas. Il n’avait aucune raison de ne pas me croire.
    
    Je crois que c’est à partir de ce moment que j’ai vraiment basculé dans l’adultère. Ce qui dans le jacuzzi pouvait être compté comme moment de faiblesse se transformait en vraie coucherie. J’allais le raccompagner chez lui, sachant pertinemment que nous allions baiser. J’ai pris sa première demande comme une promesse de nouveauté.
    
    Alors que j’allais me rhabiller, il me demanda :
    
    — Ne mets que ton manteau. Rien dessous.
    — Mais, Nils, voyons !
    — Nue sous ton manteau. Tu vas voir, c’est excitant.
    
    Et j’ai obéi. Ce n’était pas un ordre mais une demande accompagnée de sourires et de baisers.
    
    Je me souviendrai toujours de cette nuit. Le trajet jusqu’à son appartement alors qu’il me caressait. La montée de son escalier où déjà il avait détaché les boutons de mon manteau. La première fois où allongée sur une table il m’a fait jouir de sa ...
    ... bouche et de sa langue. Le plaisir de ses possessions, appuyée contre un mur, soulevée comme un fétu de paille et empalée sur sa bite infatigable. J’ai adoré – mais oui je n’ai pas honte de le dire – adoré alors qu’il me claquait les fesses en me traitant de tous les noms. Des mots crus qui m’auraient fait bondir normalement mais qui faisaient une musique érotique et excitante.
    
    Heureusement, Jean dormait à mon retour. Je ne sais pas si j’aurais pu lui mentir, encore chaude de mon amant.
    
    Mais on s’habitue vite à mentir. Pendant des semaines, j’ai rencontré mon amant. Il m’entraînait dans un tourbillon de sensations, sexuelles bien entendu, mais pas que. Il me surprenait souvent par ses demandes qui apportaient le petit plus qui fait qu’une baise devient plus forte. Je l’écoutais, je lui obéissais. Je ne dirais pas que je lui étais soumise car je n’aurais pas accepté n’importe quoi, mais j’étais comme il disait "un bon petit soldat", obéissant. J’ai accepté par exemple qu’on se retrouve chez moi, qu’on baise dans le lit conjugal, que je m’habille avec tout ce que j’avais de plus coquin. Bref, je l’avais dans la peau. Pour un homme, on aurait dit qu’il était tenu par les couilles, mais pour une femme je ne connais pas l’expression.
    
    Et puis les vacances se sont rapprochées. Il allait partir deux mois en bord de Méditerranée pour être surveillant de plage. Notre séparation semblait le faire souffrir. Moi aussi, bien évidemment, mais je devais partir comme chaque année avec ...
«12...678...14»