Fermez les parenthèses
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
piscine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
extraconj,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... dur et qui retrouva l’espace d’un instant le contact du ventre de son maître. Mais déjà le mandrin frappait à la porte. La première poussée me déséquilibra, et c’est ma tête qui servit de point d’appui.
— Reste comme ça. Je te sens mieux.
« Et moi donc… » Finie la délicatesse. Mais la levrette incite à une certaine brutalité, mémoire de nos ancêtres, saillies de reproduction avec des poussées mémorables et probablement des éjaculations rapides pour se protéger des autres, candidats procréateurs, ou pire, prédateurs en quête de proies.
Il me labourait. Ses mains qui s’agrippaient à mes épaules étaient des points de retenue à peine suffisants tellement il me bourrait. J’étais sa chose et j’en appréciais chaque moment. J’avais déjà joui mais je sentais que j’étais repartie pour un tour.
— Putain, que c’est bon ! Tu aimes ?
— Oui. C’est bon.
— Ça fait un moment que j’avais envie de te baiser, de t’enfiler ma queue pour te faire reluire. Sous tes airs de bourgeoise, j’ai senti la coquine. Tu es coquine, n’est-ce pas ?
— Oui.
— Plus que coquine : un peu salope. N’est-ce pas ?
— Oui.
— T’aimes ça ?
— Oui.
Chacune de mes réponses, "oui" expulsés alors qu’il ponctuait chaque question par une poussée sauvage, l’excitait autant que cela m’excitait. J’avais dépassé le stade de la mère de famille, épouse fidèle, jusqu’à maintenant satisfaite par son mari. Ce n’était pas une question d’âge. Ce n’était pas une question de bite plus ou moins grosse. Non, c’était ...
... l’ambiance. Nils avait commencé lentement, me laissant le contrôle pour mieux m’apprivoiser. Mais maintenant sa vraie nature se révélait. Cela pouvait être considéré comme brutal, non respectueux de sa partenaire, mais j’appréciais. Oui, j’appréciais ce côté sauvage, dominant, bien loin des propositions de mon mari, propositions dont il attendait la réponse avant de s’engager plus loin : Nils me baisait.
— T’aimes baiser, cela se sent.
— Oui.
— Ton mari ne te satisfait pas ?
— Si.
— Oh, la salope ! Et tu oses dire que tu es fidèle ? Salope… Pute… Nympho… Chienne !
« Rien ne me blesse, pourvu que tu n’arrêtes pas. » Et pendant de longues minutes je pensai que cela n’existait que dans le fantasme des vidéos de cul, "tu me baises". Je hurlais ma jouissance, la bouche déformée par le tapis, et enfin tu t’es libéré.« Quel dommage que je ne puisse pas te sentir ; j’aurais adoré recevoir ton foutre certainement généreux de par ta jeunesse et ce que la Nature t’a fourni. »
Nous avons mis – surtout moi – un moment pour nous remettre. Je revenais à la réalité. Je n’avais pas de montre, mais Nils si, une étanche au poignet.
— Il est quelle heure ?
— 20 h 33.
— Oh, mon Dieu ! Jean doit se demander ce que je fais.
— Jean, ton mari ?
— Oui.
— Tu vas l’appeler pour le rassurer.
— Oui, mon téléphone est dans mon casier.
Quelques minutes plus tard nous arrivions. Nous avions fait de longues haltes où Nils n’avait cessé de m’embrasser, de me cajoler, de me murmurer des mots ...