1. Fermez les parenthèses


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... Jean.
    
    Après une baise d’enfer dans ma voiture, me rappelant mes premiers émois de jeune pucelle déflorée sur une banquette arrière, j’avais dit :
    
    — Je peux peut-être m’arranger pour venir un peu…
    
    Sa joie était communicatrice.
    
    — Tu verras, ce sera extraordinaire. Je suis content… content…
    
    Et emporté par une envolée dont il avait le secret, il m’avait enculée avec sa tige toujours aussi longue, toujours aussi dure, toujours aussi grosse, et m’avait inondée comme jamais, depuis que nous avions convenu de ne plus utiliser de capotes. Merci, les analyses perso !
    
    Je m’étais avancée mais il était trop tard pour reculer. C’était ma récompense. Une récompense que je m’accordais, médaille accordée à la mère toujours présente, à la femme aux petits soins, et aussi à l’épouse cocufiée sans jamais se plaindre.
    
    Nils avait oublié de me préciser qu’il partageait la location avec un ami. J’avais perdu l’habitude de vivre en communauté mais cela revient vite ; il suffit de ne pas s’offusquer et de vivre comme eux, comme eux les jeunes. Pas de contraintes vestimentaires, pas d’heures pour manger, pas de repas construits. J’avais particulièrement apprécié un point qui peut sembler insignifiant : le fait de ne pas me parler de courses, de cuisine, de vaisselle.
    
    En moins d’une semaine je me sentais en harmonie. Le copain de Nils ne se gênait pas pour me mater ; plus d’une fois il avait ouvert la douche alors que j’étais dessous, et le "Excuse-moi" venait après qu’il ait ...
    ... bien eu le temps de profiter du paysage. Mais cela aussi me convenait. J’avais 20 ans de moins.
    
    Je n’ai jamais bien supporté l’alcool. Pourtant les bières, le pastis et le rosé faisaient partie du quotidien. Un soir, après un repas plus qu’arrosé, voilà Nils qui propose un poker. Alors qu’il avait sorti les cartes et distribuait les jetons, j’ai compris qu’il parlait de strip-poker. Je n’osai protester, et comme je gagnais je m’amusais de voir les deux garçons être obligés de quitter, qui un polo, qui un pantalon. Mais la chance tourna et ce fut moi qui, bien vite, me retrouvai sans jetons et devant m’alléger un peu.
    
    On a ri beaucoup, on buvait ! Je restais seule en sous-vêtements alors que les deux garçons étaient nus. Ils ne pouvaient pas se cacher, la table basse ne permettant à personne de se dissimuler. Nils m’expliqua qu’à partir de ce moment-là si je gagnais, comme ils n’avaient plus de jetons ni de vêtements, je pourrais leur imposer un gage, gage qu’ils ne pourraient pas refuser.
    
    — Quel gage ? je demande, innocente qui vient de tomber dans un piège mais qui ne le sait pas encore.
    — N’importe ; on sera obligés de le satisfaire, à moins qu’on décide d’arrêter maintenant. Juan, tu veux arrêter ?
    — Non, ce serait tricher. Marie pourrait nous accuser de nous dégonfler, tout ça parce qu’on perd.
    — Moi non plus. Tu as raison. Mais si Marie ne veut plus jouer… Marie, tu veux continuer ?
    
    Et il ajouta en riant :
    
    — Dis que tu veux arrêter ; pitié…
    
    Et moi je ...
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