1. Fermez les parenthèses


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :Ouvrez les parenthèses
    
    Marie a demandé à faire une pause dans son couple. Son mari, Jean, part donc seul dans leur maison de vacances. Un hasard lui fait rencontrer une voisine qui se trouve dans une situation comparable. Mais le premier soir où ils se retrouvent pour coucher, Marie réapparaît, manifestement déçue dans son projet. Jean décide de lui faire payer en gardant sa maîtresse avec lui, obligeant sa femme à supporter ce spectacle. Mais la veille où la maîtresse doit repartir, elle attire Marie dans une partie lesbienne qui se termine en trio.
    
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    « Plus conne que moi, tu meurs ! »
    
    C’est vraiment ce que je pensais en roulant pour retrouver mon mari. Un époux que j’avais laissé choir comme une vieille chaussette sous le prétexte que j’avais besoin d’un break. J’avais bien été obligée de lui dire que ce break venait surtout de ma rencontre avec un autre homme. Il était donc parti seul dans notre petite maison de vacances et j’allais essayer de me faire pardonner.
    
    Si vous préférez « Conne comme la lune » à « Plus conne que moi, tu meurs ! », libre à vous.
    
    Ma seule excuse, pour rester dans les adages populaires, c’est la "crise de la quarantaine". Comme je ne fais jamais comme tout le monde, moi j’ai attendu la cinquantaine pour la ressentir. Mais le choc en a été d’autant plus rude. Pas comme Jean qui distillait tranquillement ce choc en le répartissant sur plusieurs maîtresses. Moi j’ai tout concentré sur ...
    ... un amant, un seul. Encore que…
    
    Quelle femme, mère, épouse, n’a pas ressenti qu’une page se tournait lorsque les enfants quittent la maison ? Encore, moi je n’avais pas trop à me plaindre, ayant un travail à temps partiel qui occupait ma solitude. Solitude plus psychologique que réelle car Jean était presque chaque jour avec moi.
    
    Mais cela faisait si longtemps !
    
    Pourtant, lorsque j’ai décidé de prendre des cours de perfectionnement de natation, je ne pensais pas que ma vie allait changer. Ce qui m’a plu chez Nils, le maître-nageur, c’est qu’il m’a tout de suite traitée comme une femme et non pas comme une mère ou une épouse. Lorsque j’ai intégré le groupe, les plaisanteries étaient nombreuses entre les élèves, toutes des femmes de 30 à 70 ans. Vous ne savez pas comment une assemblée de dix nanas se préparant pour la leçon peut se comporter comme des potaches : « Nils ceci… Nils cela… » Chacune rivalisait de remarques qui, si elles avaient été d’hommes sur une femme, auraient donné lieu à une condamnation pour sexisme.
    
    Dès la deuxième leçon, il me tutoyait.
    
    « Vous le connaissez ? » me demandaient certaines qui avaient droit au "Madame X…, Madame Y…" Seules les plus jeunes avaient droit au "tu", ce qui n’empêchait cependant pas Nils d’être sévère et exigeant.
    
    « Vous avez la cote… » me dit celle avec qui j’avais sympathisé. Elle avait raison : en plus de me tutoyer, il était évident que Nils avait toujours un œil sur moi. J’étais heureuse de cette attention. Ce ...
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