1. Fermez les parenthèses


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... l’avantage des maternités, à condition de savoir rééduquer certains muscles intimes. Et ces muscles m’en faisaient apprécier toute la beauté. Elle me remplissait comme jamais, encore mieux que lorsque Jean me prend par derrière avec un gode dans ma chatte. La bite était vivante, chaude et c’était bon.
    
    — Oui, baise-toi, princesse. Fais-toi plaisir.
    
    Mais oui je me baisais. Chevillée au corps, la bite me caressait les parois, poussait parfois tout au fond de ma grotte lorsque je me laissais retomber de tout mon poids. Sensation parfaite d’être pleine. Sensation encore meilleure de me relever, sentir le mandrin glisser en moi, stopper alors que je sentais le gland à la porte pour retomber comme une masse et me transpercer sans aucune pudeur ni retenue.
    
    — Putain, que t’es bonne… Je savais! Je savais ! Tu aimes ma queue ? Hein, tu aimes ?
    
    Les hommes aiment qu’on leur parle. Enfin, c’est ce que mon mari apprécie. Cela doit les rendre plus forts, plus fiers, mâles jusqu’au bout de la bite ! Mais je n’avais pas besoin de me forcer ; moi aussi j’appréciais. Cela me faisait sentir plus coquine, me sortait des conventions familiales, me libérait, me montrait sous un jour que je devais cacher, salope des salopes, pute des putes…
    
    — Oui je l’aime. Elle est grosse. Elle est dure. Elle me fait du bien. Surtout retiens-toi…
    — T’inquiète, princesse, je sais me contrôler.
    
    Princesse ! Où allait-il chercher cela ? En tout cas cela me valorisait.
    
    La princesse s’enfilait toute ...
    ... seule. Le prince n’avait qu’à fournir le mandrin, je faisais le reste. Tout le reste. Je me caressais le clitoris, frottant mon bouton pour m’apporter le petit plus qui fait que ma jouissance serait plus forte.
    
    — Caresse-moi les seins. Tords mes tétons. J’adoreeeeeeeee…
    
    Bien sûr qu’il le faisait. J’étais au top. Je me sentais cochonne, perdue de réputation, mais c’était si bon. Nils vint au-devant de moi. Il poussa sa bite pour gagner un, deux, trois millimètres, de ceux qui font que les couilles frappaient aux portes de mon cul, que la bite explorait des régions inexplorées.
    
    — Oui… Oui… Oui… Je v…
    
    C’était terrible, fantastique. Je ruisselais. J’inondais. Je jouissais.
    
    « Elle s’effondra sur lui. » ; tout le monde a lu ce genre de phrase. Mais c’était la vérité. Le plaisir était si fort, concentrant en quelques secondes une énergie formidable, que je me sentis défaillir. Toujours empalée, je le recouvrai. Tendrement il me caressait. Il me dit des mots doux :
    
    — Je suis content. Tu as eu du plaisir. Tu vois que j’avais raison.
    
    Et puis :
    
    — Tu vois, je sais me retenir.
    — Oui, c’est formidable. Tes maîtresses doivent être heureuses.
    —Ma maîtresse : c’est toi. Que toi ! Attends.
    
    Il me repoussa délicatement. Il se releva. Il m’aida à me redresser mais ce fut pour me guider en levrette. J’étais à quatre pattes sur ce tapis de mousse. Une chienne qui savait ce qui l’attendait car elle avait entraperçu ce qui avait quitté son ventre, mandrin toujours aussi ...
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