Fermez les parenthèses
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
piscine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
extraconj,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... penser du reste ?
Je m’agenouillai sur une marche. J’avais enlevé mon bonnet de bain, et mes cheveux qui tombaient lui faisaient la plus agréable des caresses. C’est Jean qui m’avait appris cela, comme il m’avait aussi appris et perfectionné "mon talent naturel de coquine", comme il disait. Mais je chassai mon mari de mes pensées ; je verrais plus tard pour les remords. Pour l’instant, je caressais la bite avec une main et la chatouillais de mes cheveux. Et puis mes lèvres prirent la relève. Et puis ma langue. Et puis ma salive qui chassa les dernières gouttes du bain.
— Oh oui, c’est bon, continue. Je savais bien que tu… Oui, suce mes couilles ! Oh mon Dieu, tu pompes bien… Aspire… Oui… Rassure-toi, je ne vais pas venir tout de suite. Continue.
Pendant tout ce temps, l’homme ne restait pas inactif. Il me caressait les épaules, le dos, enveloppait mes seins, puis en se penchant vers moi il poussa une main entre mes cuisses. La salope que j’étais devenue écarta les jambes afin qu’il puisse s’aventurer plus loin. C’était bon. Sa bite vibrait. L’odeur d’eau de Javel avait cédé la place à ma salive. Chaque seconde était une découverte. J’aime sucer – Jean en est témoin – mais ici tout était nouveau : la taille, la forme, la texture, et surtout le gland totalement dégagé de sa protection ; c’était mon premier circoncis. Comme c’était aussi mon premier amant, du reste.
— Attends ; viens, me dit-il.
Il me repoussa avec tendresse, recula d’un mètre pour atteindre ...
... un tapis de mousse où il s’allongea non sans avoir attrapé la petite sacoche qui ne le quittait jamais et dont il tira un préservatif. Voilà un objet que je pensais ne jamais revoir. Le temps que je me lève pour le rejoindre, il sortit le disque de son sachet et le roula sur sa bite.
— Viens. Mets-toi sur moi. Tu pourras contrôler, si je suis trop long pour toi.
Gentille attention, manifestement fruit de nombreuses expériences.
Je l’enjambai. Il ne reposa pas sa tête sur le tapis mais la garda penchée vers moi. Il regardait celle qu’il convoitait se placer, prendre son mandrin à pleine main pour le décoller de son ventre, ne garder que trois doigts pour le tenir vertical, juste en face, là où la fente descend.
Il m’ouvrit. Je constatai que j’étais humide, pas de l’eau du bain mais du suc que la salope distillait sous l’excitation. Il était assez en moi pour que je le libère, lui permettant d’avoir une vue plus complète. Je me tenais droite, droite comme la justice ! Ici, la justice n’avait rien à voir. J’étais droite, je me tenais droite, comme toutes les femmes qui chevauchent un homme, du moins pour se faire lentement pénétrer par une queue jusqu’à ce que les fesses reposent sur les cuisses. Alors et seulement alors elles se penchent un peu en arrière, en avant, ondulent, se tortillent avant de s’appuyer sur les bras et se font baiser par un mandrin vigoureux.
Et je le fais. Sa queue, si longue fût-elle, si large fût-elle, trouva chaussure à son pied. C’est ...