1. Fermez les parenthèses


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... les copines n’était pas artificielle, même si certaines avaient émis l’hypothèse d’une coque. Le sexe était long, fin, se balançant sur deux couilles aussi imberbes que le reste du corps.
    
    Il chercha le jet.
    
    — Ah, j’adore ; on dirait un massage intime. Tu sens ? Tu devrais enlever ton maillot. J’imagine qu’avec ton physique tu bronzes nue.
    
    Mais comme j’hésite.
    
    — Une belle fille comme toi !
    
    Ce fut le "une belle fille" et non pas "femme" qui me libéra. J’enlevai mon maillot. Je l’avais depuis peu. J’avais avant un maillot une pièce, classique pour la piscine, et j’ai voulu répondre au regard de cet homme en achetant un maillot très moulant mais avec le dos dégagé avec juste des bretelles qui se croisent. Enlever les bretelles pouvait se faire assise, mais pour le reste je dus me lever et apparaître ainsi en totalement nudité ; pire, en parfaite impudeur. Je sentais son regard sur moi.
    
    — Bien, maintenant cherche un jet et positionne-toi.
    
    C’est vrai que suivant la façon de se placer on ressent un massage très particulier.
    
    Nous sommes restés quelques secondes ainsi.
    
    — Tu es très belle, Marie.
    — Merci.
    — Plus que belle. Tu me troubles. J’ai flashé sur toi. Tu as remarqué ?
    — Un peu.
    — Et qu’est-ce que tu en penses ?
    — Je suis trop vieille pour toi ; tu as l’âge de mon fils. Tu peux avoir toutes les filles que tu veux.
    — L’âge ! Quel âge ? Tu es bien plus sexy que ces gamines. Tu dégages une sensualité qu’elles n’auront jamais. Moi je te trouve belle… ...
    ... J’ai envie de toi… Pas toi ?
    — Nils, ce n’est pas raisonnable. Je suis mariée. Je suis fidèle. Je n’ai jamais eu d’aventures.
    — Je ne te crois pas. Ce n’est pas possible, belle comme tu es.
    — Mais si.
    — Alors tu n’aimes pas le sexe. Tu préfères les femmes ?
    — Mais si, j’aime…
    — Alors regarde l’effet que tu me fais.
    
    Et Nils sortit du bain. Les bulles avaient caché son ventre et le reste. Assis sur le bord du bain, le sexe qu’il affichait à mon regard n’était pas celui d’un homme qui sort de l’eau, fripé, mais une verge tendue, assez rigide pour se tenir plaquée contre son ventre. Je ne suis pas une experte, même si j’ai connu des hommes avant mon mari ; mais de voir cette tige rose, à peine veinée, presque élégante, et surtout dont le gland cachait le nombril, me fit penser que c’était ce qu’on appelle "un beau morceau".
    
    L’homme flatta sa bite avec sa main. Je l’avais crue fine, mais la main qui servait de mesure m’indiqua que la largeur était dissimulée par la longueur. Nils vit bien que mon regard était sur son sexe. Il était presque à la hauteur de mon visage, si près qu’il aurait suffi d’un rien… Et ce rien se produisit comme par magie. Je me tournai un peu plus vers lui ; l’homme pencha sa queue vers moi. Si ma raison hésitait, mes lèvres firent sédition. Elles effleurèrent la peau rose du gland en déclenchent un "hum" de Nils. Ce simple "hum" déclencha de la fierté chez moi. Ainsi il me "kiffait" tant que ce simple contact l’avait troublé. Alors qu’allait-il ...
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