1. Fermez les parenthèses


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... fut un feu d’artifice. J’adore lorsqu’il me remplit de son foutre.
    
    Ils m’aidèrent à me relever. J’étais sonnée de plaisir. Sur mes cuisses coulait lentement dans une sensation vicieuse ce que mon amant m’avait offert.
    
    Un dernier verre.
    
    — Allons dans la chambre, invita Nils.
    
    Mais Juan nous suivit. Il faisait jour. J’étais tout endolorie comme après une séance de gym. Je me sentais gluante. Je me souviens que Nils n’a pas voulu que je me lave. L’alcool n’a pas effacé mes souvenirs. Dans la chambre, les deux hommes ont encore "abusé" de moi. Un abus de plaisir partagé. Juan pour la première fois de sa vie a pris une femme par le cul. Je me souviens qu’il n’arrêtait pas de dire « Elle est serrée. Elle masse ma bite, putain ! » Pourtant Nils m’avait enculée avant, me dilatant et graissant mes boyaux de sa liqueur.
    
    Quelle soirée ! Quels souvenirs ! J’étais heureuse. Je devinais que cette soirée ne resterait pas une soirée unique. J’avais goûté à deux hommes. C’était super. Je devenais de plus en plus cochonne.
    
    * * *
    
    J’étais seule dans la chambre. Une bonne odeur de café m’attira. J’ouvris la porte. Les hommes étaient dans la cuisine. J’allais leur faire une surprise, débarquer nue et disponible. J’avançai à pas feutrés.
    
    — C’était vraiment super ! dit une voix que je reconnais être celle de Juan.
    — Tu vois, je te l’avais dit.
    — Sur le moment, lorsque tu m’as parlé d’une bourgeoise que tu avais à ta main et qui ne te refusait rien, je ne t’avais pas ...
    ... cru.
    — Tu avais les photos pourtant.
    — Oui, mais la réalité dépasse tout. En plus elle aime ça. Je n’en reviens pas comment elle s’est laissé rouler avec le strip-poker. Tu trichais effrontément et elle n’a rien vu. Il faut dire que de lui faire croire qu’elle avait la chance avec elle était une idée géniale.
    — Mais elle a de la chance : celle de m’avoir rencontré, sinon elle serait restée une bourgeoise un peu cochonne, sans plus.
    — Et maintenant ?
    — Comme je te le disais, dès cet aprèm je contacte le Parisien qui organise des soirées. Il était prêt à payer pour de la chair fraîche, des femmes normales, pas des putes. Je vais me faire des couilles en or avec elle.
    — Tu crois qu’elle va suivre ?
    — Tu as bien vu : elle m’obéit au doigt et à l’œil. Un peu d’alcool et elle va se déchaîner.
    
    Je n’ai rien dit. Je suis retournée à la chambre et fait semblant de dormir. Le salaud, il allait me le payer ! Alors avant de partir en voiture j’ai consciencieusement découpé tous les vêtements des mecs avec des ciseaux, et ce qui était trop dur j’ai versé de l’eau de Javel dessus. Et sur un mur du salon, avec une bombe de peinture qui traînait, j’ai dessiné une grosse bite avec une bouche entrouverte et ajouté : « Nils suce son copain. » Je n’ai pas signé. Je vais les laisser se débrouiller avec le propriétaire. Il n’y a pas de petites vengeances. Pas étonnant que depuis que je roule mon téléphone ne cesse de sonner : Nils cherche à me joindre.
    
    Chéri, j’arrive. Voilà ta petite femme ...