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Fermez les parenthèses
Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe
... C’était bon. Cela me rappela l’été dernier sur la plage avec mon mari alors que les voyeurs se rapprochaient pour profiter du spectacle. Mais aussi un plus audacieux que les autres qui était si près que j’aurais pu le toucher. Sa présence m’avait subjuguée. « Et toi, Juan ? Pas besoin de me répondre : j’ai bien vu que tu as discrètement commencé à te branler. La nuit va être difficile alors que Nils et moi aurons rejoint notre couche ! » Nils est retourné s’asseoir. Je restai un moment ouverte à leurs regards. Je n’avais plus rien à cacher. Mais Nils me tendit la main. — Viens. C’était plus qu’une demande. Une évidence. Sa bite était tendue contre son ventre. Je savais ce qu’il voulait. Devant son ami ! Encore une façon de montrer que sa maîtresse était folle de lui. Fierté du mâle. Et moi, cela ne me rebutait pas. Au contraire. Un spectateur ne peut qu’apporter encore plus de perversité. Ce fut à mon tour de le caresser. Je faisais la salope qui pompe. Le grand jeu. Les gargouillis infâmes de ma gorge qui brassait la salive sur la queue rigide. Je faisais la salope en fixant Nils de ce regard satisfait et pervers. Mais aussi je jetais des coups d’œil vers son copain qui semblait figé devant un tel spectacle. Mais je sentis qu’on prenait ma main et qu’on la guidait. On la guidait vers Juan, et bientôt je sentis la chaleur de son sexe. Je compris que Nils, ami généreux, voulait que je caresse aussi son copain. J’avais bu, mais je n’avais pas tout à fait ...
... perdu le contact avec la réalité. Je voyais bien que d’un poker coquin nous nous dirigions vers plus fort. Et pourquoi pas ? Juan n’était pas vilain garçon et sa queue était un modèle de fraîcheur. « Mon Dieu, que suis-je devenue si je juge maintenant les hommes à l’aune de leur braquemart ? » « Une salope. » répondit une petite voix que je trouvai bien peu claire ; voix pâteuse, de celles que l’alcool déforme. Voilà, c’était dit : c’était la faute à l’alcool. Belle excuse ! Je ne savais pas si Nils le souhaitait, mais je quittai sa bite pour m’occuper de celle de son copain, et maintenant c’était la sienne que je branlais alors que je gobais celle de Juan. Je la gobais d’autant mieux qu’elle était plus raisonnable, et que comme celle de mon mari j’arrivais presque à toute la prendre. J’en avais fait des progrès en si peu de temps avec celle de Nils ! Même Jean avait remarqué que j’arrivais mieux à le pomper. Il a mis cela sur le compte d’une gourmandise nouvelle, prémisse d’un été qui avançait. Le pauvre. Il devait se morfondre alors que je m’envoyais en l’air. En plus je lui avais fait croire, sans vraiment le dire, que ce break pouvait déboucher sur une séparation. Je n’allais tout de même pas lui dire que je voulais me faire baiser et plus tard revenir à la maison. Non, un amour déçu est plus pardonnable qu’une envie de baise ! Pas de jaloux. Je quittai Juan pour Nils, puis je revins à Juan. On me donna une capote. Pas besoin de me faire un dessin. Je sais comment ...