1. Fermez les parenthèses


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... les faire glisser sur une bite plus qu’humide.
    
    J’entendis du bruit. Du coin de l’œil je vis Nils dégager la table basse des cartes, jetons, verres et bouteille. Il me la montra ; je m’allongeai dessus. Je vis Juan bouger, se placer entre mes cuisses. Tout cela sous le regard manifestement bienveillant et complice de mon amant, son copain Nils.
    
    Il n’était pas inexpérimenté. Il me posséda lentement, et comme j’étais largement ouverte, bientôt son ventre buta contre le mien. La table était courte et basse. Mes jambes qui traînaient au sol vinrent envelopper mon baiseur. Il le prit comme une invite, et il n’avait pas tort. Il me travaillait, et c’était bon. Nous nous regardions, complices, sous le regard de Nils.
    
    Quand on accepte de reconnaître qu’on aime la baise et que tout est prétexte au plaisir, on comprend que plein de choses participent et que ce n’est pas seulement une alchimie entre deux corps. Tout le reste contribue : l’ambiance, le lieu, la position, le bruit, la peur d’être surpris, mais plus que tout et je le sais maintenant, les autres. Je comprends ces couples qui s’affichent même s’ils ne se mélangent pas, mais que la présence d’autres couples excite.
    
    Juan me baisait et Nils nous regardait. C’était bon. Il me caressait la poitrine pendant que son copain me bourrait. Je voyais sa queue à portée de main et j’aurais voulu la prendre pour la caresser, mais manifestement il ne voulait pas.
    
    — Elle est bonne ma princesse, hein ? dit mon amant à son copain ...
    ... qui me bourrait.
    — Putain, oui. Elle est grande ouverte. Regarde, elle ne veut pas que je parte ! dit le garçon en faisant allusion à mes cuisses qui entouraient ses hanches.
    — Il est bon mon Juan, hein, princesse ?
    
    Je n’eus pas besoin de me forcer pour lui répondre. C’était vraiment bon. J’étais tout excitée. Le strip-poker avait rempli sa mission, nous mettre à l’aise.
    
    — Oui… Il est bon…
    
    Et puis, encourageant mon baiseur :
    
    — Vas-y, mets-moi fort. J’aime quand c’est fort.
    
    Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Mes jambes faisaient un étau qui me retenait, et quoi qu’il fasse je restais soudée à lui, lui laissant juste la place de se retirer avant de me remplir à nouveau. Il allait jouir ; il le dit. Nils lui dit de cracher sur mes seins. La capote à peine arrachée, ses jets m’inondèrent. Ils étaient si forts que j’en reçus sur le visage. Le reste, c’est Nils qui se chargea de m’en faire un massage.
    
    Et, à peine libérée de Juan, voici mon amant qui venait réclamer son dû. Ce fut à Juan de nous regarder. Il avait tout le temps de prendre une leçon de choses. Rien de mieux que de pouvoir comparer. Juan m’avait bien honorée ; Nils me laboura. Lui a mis mes jambes sur ses épaules, et ses mains plaquées sur mes cuisses me retenaient. Longuement il me bourra. Il attrapa mes chevilles par les mains, formant un V de mes jambes. Un V totalement impudique qui me permit de me caresser le clito.
    
    J’accumulais les jouissances, et lorsqu’il se libéra en moi, ce ...