Une année pas comme les autres
Datte: 20/08/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... un film, c’était impressionnant. Tu sais combien fait le sexe d’une baleine.
— Dis.
— Deux à trois mètres.
— Cela veut-il dire que tu es un peu complexé de ce côté-là ? dit-elle en mettant une main entre mes jambes.
— Peut-être, lui dis-je.
— Allons voir.
Cela faisait plus de trois mois que je n’avais pas goûté à la chair fraîche. Mon érection était déjà bien entamée.
— Oh, oooh, crie-t-elle en voyant bondir mon sexe hors du pantalon.
Elle se penche aussitôt et embrasse mon ventre, elle prend mon membre teinté de pourpre et l’embrasse aussi. Puis elle passe ses lèvres autour de son bout et aspire le gland. Elle le caresse longuement avec sa langue, tourbillonnant autour à plusieurs reprises, en gloussant des murmures admiratifs. Je l’encourage en pressant légèrement sur sa tête. Elle suce plus profond, coulisse le long de l’axe, puis avale entièrement mon sexe dans sa bouche. Ses mains caressent mon torse par-dessous la chemise, s’attardent sur mes mamelons, les pincent doucement.
— Oh mon Dieu, j’étais tellement excité.
Je n’avais pas fini ma phrase, que mon foutre se répand dans sa bouche.
— Je suis vraiment désolé, lui dis-je, alors qu’elle remonte m’embrasser sur le cou.
— On n’est qu’au début !
— Oui, c’est vrai.
— T’as quelque chose à manger ?
— On peut se faire une omelette au fromage et aux tomates, dis-je après une petite réflexion.
— Parfait.
— Je m’en charge.
— Non, je vais le faire.
— Ensemble.
Je sors du petit frigo trois ...
... œufs, du fromage râpé et deux tomates. Elle découpe les tomates, bat le mélange avec une fourchette, puis met le tout dans la poêle. Pendant ce temps, je lui colle par derrière, prolonge mes mains jusqu’à ses gros seins, les pétrit légèrement. Elle tourne la tête, et m’embrasse dans la bouche, tout en remuant l’omelette avec une spatule. Le résultat est esthétiquement raté, nous en rigolons.
Nous partageons l’omelette, puis je mets Émilie sur le lit et je la débarrasse de sa jupe et de son chemiser. Elle se laisse faire sans la moindre résistance. Je mets deux doigts dans sa fente et je trouve qu’elle est bien mouillée. Je pousse un peu plus à l’intérieur, je pistonne, elle commence à gémir.
— Oh, veux-tu bien me baiser maintenant, je n’en peux plus.
Elle parle difficilement, son souffle est coupé.
Je laisse glisser ma queue en elle. Elle gémit encore, long et fort, comme elle semble exploser dans un abandon heureux. Elle me regarde avec des yeux implorants alors que je coulisse en elle méthodiquement, avec le maximum de mon élan. Elle balance la tête, incapable d’arrêter de crier. Lorsqu’enfin je jouis en elle, sa voix est éteinte. Elle transpire de partout. Je me laisse tomber sur elle, et l’embrasse dans la bouche, mais elle est complètement exténuée, presque inconsciente, des senteurs de l’extase ultime flottent sur elle. Je pose la tête entre ses seins, dégustant la sensation de son corps moelleux pressé et serré contre moi.
À partir de ce jour-là, on se ...