Les mémoires de Jonathan (6)
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Donatien A.F. de Sade, Source: Xstory
... tension qui s’était accumulée au sein de son corps dans un cri suraigu et un geyser inodore et incolore. Le signe qu’elle a apprécié ma caresse est son baiser fougueux, partageant dans une parfaite communion sa divine liqueur. Sa saveur est différente de celle de ma défunte, effluve un peu piquant à la saveur douce. Seulement, ma petite cousine semble une seconde fois embarrassée de cette expulsion subite, sur ce, je la rassure aussitôt en lui avouant que je trouve cela très sexy et touchant à la fois.
À son tour, elle me chavire, se retrouvant dans la position dominante. Mon pantalon s’envole et mon membre se retrouve prisonnier de ses lèvres. J’aimerais dire que mon sexe est de la taille de ceux des plus grands acteurs de l’industrie du X, mais la vérité est qu’il se situe dans la moyenne des hommes. Pourtant, Lily ne semble en faire aucun cas. Elle s’en contente pour mon plus grand plaisir. Sa bouche est chaude, parcourant l’échine de ma colonne de chair, l’humidifiant pour la suite des festivités. J’aime sa façon de me regarder par moments lorsqu’elle s’évertue à me gratifier de ce plaisir. Elle est si belle, trop belle, je lui signale que si elle continue ainsi, je ne vais pas tarder à me libérer. Elle m’encourage en augmentant le rythme, bougeant de la tête, de la langue, comme une morte de faim. Je ne peux plus me retenir, c’est trop bon, c’en est trop. Je me libère dans la bouche de ma cousine, heureux. Ses lèvres ne quittent mon sexe que lorsque j’ai tout ...
... donné.
Elle me regarde amoureusement, ses yeux parlent d’eux-mêmes. Elle entrouvre la bouche et j’y perçois mon jus, qu’elle avale aussitôt.
— Lily, tu n’étais pas obligée d’avaler, tu sais.
— Je sais, mais j’en avais envie. J’aime bien ton pénis et il semble bien aimer ma petite gâterie. ricane-t-elle.
Comme l’heure n’est pas à la discussion, nos lèvres se retrouvent et entament une danse connue désormais. Je perçois le goût de mon propre jus dans sa bouche, mais étrangement, à cet instant, cela ne m’importune pas plus que de raison.
La main de ma cousine empoigne mon vit, l’abaisse et le présente devant son palais des plaisirs.
— Attends, je n’ai pas de condom.
— Ah ! Écoute, j’en ai trop envie depuis longtemps pour ne pas le faire avec toi. Je suis certaine que ton pénis veut dire bonjour à ma chatte. Et puis, je prends la pilule contraceptive.
— J’essaierai de me retirer avant de venir en toi alors.
— Ça me va. Bien que ce ne soit pas efficace à cent pour cent, c’est un bon début, en plus du médicament.
Je me prolonge en elle, d’abord lentement, puis je progresse. Jamais je n’aurais imaginé que de copuler avec ma cousine serait aussi bon et libérateur. Nous entamons les mouvements communs aux couples depuis des millénaires, ceux qui n’ont plus de secrets pour nous. Nous varions les positions, retardant le moment fatidique où notre union cessera, car je ne peux perdurer ainsi des heures durant. Je ne suis guère une machine, hélas, comme certains films ...