Les mémoires de Jonathan (6)
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Donatien A.F. de Sade, Source: Xstory
L’aube point vers six heures, munie d’un ciel au teint vert. Je me remémore les événements de la soirée précédente. Hier, ma meilleure amie et moi, nous nous sommes donnés mutuellement en spectacle au regard concupiscent de l’autre. Jamais je n’aurais cru cela possible, il y a peu. Comment en suis-je venu à commettre tous ces actes empreints d’une certaine luxure ? Est-ce le manque de compagne qui joue en ma défaveur ou est-ce un désir inconscient et inassouvi ?
Je tourne et retourne la question dans tous les sens sans en trouver la réponse. Mystère ! Je commence à penser que ce n’est ni plus ni moins qu’un désir instinctif primaire. Après tout, je suis entouré de femmes et il n’y a que peu d’hommes dans le manoir de mon oncle. Seulement Bernard, les deux cousins Georges et Matthew, ayant respectivement 60 ans et 57 ans, les deux jumeaux Micah et Samuel âgés de 42 ans, sans oublier mon père et moi. Il n’y a, pour ainsi dire, aucun homme de mon âge avec lequel discuter. Je me retrouve donc avec Lily-Rose, Julie et mon amie Gwen.
Aujourd’hui, j’espère rencontrer mes autres cousines qui sont arrivées hier, dans la soirée, Stella et Anjelica, ayant respectivement 24 ans et 22 ans. J’espère qu’elles s’assimileront rapidement à notre groupe. Comme le dit le dicton, plus on est de fou, plus on s’amuse. En ce qui concerne la folie, je crois que je nage en plein dedans depuis peu. C’est une mer de supplice, un océan de vésanie. Entre le fantôme de mon amour perdu, mes cousines ...
... incandescentes, Lily-Rose et Julie, sans oublier la non moins sensuelle, mon amie Gwendoline, je suis submergé de désirs inassouvis depuis trop longtemps.
Je me lève et me dirige en direction de la salle de bain afin de faire mes ablutions quotidiennes. Une fois la chose faite, je m’habille et me dirige vers la sortie. Un bruit me fait sous-entendre qu’une personne est déjà levée et qu’elle s’affaire à la cuisine. Allant dans cette direction, je suis interpellé par mon oncle Bernard, qui souhaite avoir de la compagnie, me tendant par la même occasion un café bienvenu.
Débutant par les salutations d’usage, je remercie ensuite le père de Lili-Rose pour son hospitalité et sa gentillesse à mon égard. Nous discutons un moment, de tout et de rien, jusqu’à l’instant où mon oncle essaye d’en savoir un peu plus sur le lien qui m’unit à Gwen.
— Jonathan, j’aimerais te poser une question... disons-la plutôt indiscrète.
— Vous pouvez me questionner, ça ne me dérange pas.
— J’aimerais savoir si ton amie, celle qui est venue te retrouver ici, comment se nomme-t-elle déjà ?
— Gwendoline, mais elle préfère se faire appeler Gwen.
— C’est ça ! Est-ce qu’elle est ta petite amie ?
— Gwen ? Aucune chance.
— Pourquoi dis-tu cela sur ce ton ? Elle ne te trouve pas attirant ou te ne la trouves pas de ton goût ?
— Ce n’est pas ça ! Elle ne s’intéresse pas à la gent masculine. De plus, elle est déjà en couple. Gwen est ma meilleure amie et c’est amplement suffisant.
— ...