Les mémoires de Jonathan (6)
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Donatien A.F. de Sade, Source: Xstory
... veulent laisser croire à la gent féminine naïve sur le mystère masculin.
Ma main remonte une mèche de cheveux de ma compagne et passe sous son oreille droite tandis que ses mains remontent l’échine de mon dos. Je sens ses ongles racler légèrement ma peau, ce qui déclenche en moi des frissons et une piloérection instantanée. La tension monte de plus en plus, je crains fort que notre danse se termine précipitamment. J’en informe Lily qui referme ses jambes autour de ma taille, me rendant prisonnier de son doux étau.
— Lily, libère-moi, car je vais venir.
— C’est trop bon ne t’arrête pas, j’y suis presque.
— Ne déconne pas, je vais jouir en toi si tu ne me laisses pas ressortir.
— Viens, je m’en fiche, mais ne t’arrête pas.
— Nous avions convenu que...
Elle m’empoigne avec force et m’embrasse, me signifiant de me taire par ce geste. Sa clameur est telle que je continue ma progression jusqu’à me libérer dans la matrice de cette chaude cousine. J’espère seulement qu’elle ne tombe pas enceinte, mais qu’y puis-je lorsque la passion et l’extase nous submergent. Lorsque ce moment arrive, nous ne pouvons contrôler notre réaction, et ce, malgré toute la volonté de notre résolution avant le début de l’acte.
Une fois ce sentiment vif et autoritaire présent, ce n’est plus la raison qui dicte nos gestes et nos pensées. Ce sont nos désirs charnels, notre corps, notre soif de jouissance, d’extase, qui dictent notre conduite afin de satisfaire ces envies qui sont ...
... devenues, bien qu’éphémères, le centre de nos besoins physiologiques.
Ma Lily me rejoint dans la jouissance, juste avant que la friction devienne douloureuse sur le bout de mon sexe. Fort heureusement d’ailleurs. Elle dénoue ses jambes, je la retourne pour qu’elle se retrouve sur moi, ne désirant l’écraser sous mon poids. Elle par contre, elle est légère et je ne risque pas d’être écrasé sous son poids. Nos sexes demeurent emboîtés, profitant de cette fusion le plus longtemps possible. Mon vit entame une retraite bien méritée due à la gravité et la nature des choses, ayant perdu de sa superbe. Je remarque une larme qui coule sur la joue de ma maîtresse et elle se met à pleurer.
— Ça va ?
— Oui, tout va bien. Ce sont des larmes de joie. Je pleure, car je suis heureuse.
Ah, les femmes ! Des fois, il leur suffit d’ouvrir les vannes et quelques sauts plus tard il n’y paraît plus. Personnellement, je trouve cela très attachant.
Nous nous reposons un moment, les mains de ma cousine parcourant mon torse. À cet instant, une chose se produit. La fissure qui balafre mon cœur jusqu’à présent commence un colmatage majeur. Pour la première fois, d’aussi loin que je me souvienne depuis la perte de Marie, je n’éprouve pas un seul regret. Ma compagne m’invite à nous habiller et à marcher, ce qui nous dégourdira les jambes et nous fera faire de l’exercice pour favoriser une saine digestion. Il ne faut pas oublier le repas copieux du déjeuner.
Les heures passent, nous nous ouvrons ...