1. Elise au clair de lune


    Datte: 14/08/2019, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, grosseins, forêt, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, entreseins, Oral Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe

    ... donner de plaisir, pourtant mes tétines saillent malgré moi. Il malaxe les bouts en grognant son contentement.
    
    Je subis ces attouchements comme une abjecte concession dont je redoute la suite. Prestement il sort son organe qu’il manipule par secousses. Son pantalon est tombé sur ses chaussures. À travers les pans de sa chemise, j’aperçois le gros ventre velu. Chaque aller et retour de sa main, glissant sur le gros vit brunâtre, vient bousculer une imposante paire de testicules. Maître de la situation, il guide ma main soumise vers son sexe et empoigne mes seins. Je le branle mécaniquement, pour en finir. Il gicle aussitôt sur mon buste, bramant sans vergogne sa jouissance.
    
    Les deux hommes ont quitté les lieux, me laissant seule dans une torpeur malsaine. Agissant comme un automate, je nettoie soigneusement mes seins souillés. Malgré moi, le contact de mes paumes savonneuses sur ma poitrine me trouble inexplicablement. Je me repasse la scène que je viens de vivre et me sens partagée entre le dégoût d’avoir subi des attouchements grossiers et l’excitation d’avoir été l’objet sexuel de cet homme fruste. Je me demande si je ne deviens pas folle !
    
    Je revois le ventre obscène, la paire de bourses hors du commun. Je retrouve le contact des mains calleuses pétrissant et reléguant mes beaux appâts au rang de gros nichons de prostituée. Voilà la clef de mon émoi, je me suis sentie pute ! Un vertige s’empare de moi, j’appuie lourdement mes fesses sur le bord de l’abreuvoir. Je ...
    ... ne contrôle plus ni mes sensations, ni mes gestes.
    
    Mes mains glissent sur mon corps, attirées par le triangle blond de la toison. Je lisse ma fente humide de mes doigts si menus par rapport aux gros doigts de ce rustre. Je me retourne, une main en appui sur le rebord de l’évier, l’autre parcourt mes fesses et s’immisce le long du sillon, frottant mon anus au passage et pénétrant mes lèvres ouvertes. Je surprends mon visage en quête de volupté dans le morceau de miroir suspendu au mur, je vois mes gros seins ballotter lourdement et soudain, cette image m’est insupportable. Je fuis sur le lit.
    
    Cependant, incapable de reprendre la maîtrise de mes sens, je recommence à me toucher puis, cédant au feu qui m’embrase, je me couche sur le côté et m’adonne au plaisir solitaire. Je me doigte furieusement, enfin ! L’image du bas-ventre velu, imposé, m’obsède. Je jouis longuement de mes deux mains impudiques fouillant mes orifices. Je reste longtemps allongée dans cette posture, balançant entre honte et volupté satisfaite. Pour fuir ma conscience, je m’endors finalement, lovée sous la couverture.
    
    Je ne sais combien de temps j’ai dormi mais, dès mon réveil, une idée s’impose à moi : quitter ce lieu sordide. Je dois profiter de la nuit pour regagner ma maison. Pour tromper mon attente, je débarrasse la table et fais la vaisselle.
    
    Les deux hommes entrent au moment où je termine la corvée. Je vais immédiatement me mettre à l’écart sur le lit. Ils vaquent à leurs occupations sans ...
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