Elise au clair de lune
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
grosseins,
forêt,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe
... me prêter attention. Luigi se lave le haut du corps pendant que Marco prépare le dîner. Ils échangent quelques rires, la complicité semble avoir changé de camp. Plus tard, Luigi sort s’assoir dehors avec une carafe de vin. Il a laissé deux verres pleins sur la table.
Marco profite de l’occasion pour venir près de moi et m’offrir du vin, mais je refuse le breuvage. Il me l’échange contre un verre d’eau. Il me caresse l’avant-bras, j’intercepte sa main et lui explique, comme je peux, que je veux rentrer chez moi cette nuit. Il baisse la tête, montrant qu’il a compris. J’insiste, pour m’assurer qu’il ne s’y opposera pas, voire qu’il me facilitera les choses. Il acquiesce mollement de la tête, puis me vole un baiser. Rassurée par ce que je prends pour un consentement, je lui rends son baiser et réponds à ses tendres attouchements. J’ai conscience de jouer ma liberté par mon comportement avec lui.
Le dîner s’est déroulé sans histoire, presque cordialement. Les deux garçons riaient souvent et tentaient de me faire partager leur gaîté. Pourtant je me remets à l’écart sur le lit après avoir fini mon assiette, laissant les Italiens boire et continuer leur discussion. Je me dis, en les observant, que cela pourrait être une tranche de vie heureuse, mon amant discutant avec un ami dans un refuge de montagne. Marco m’adresse de fréquents sourires tout en continuant à converser avec son collègue. Même Luigi semble agréable en cet instant. Dehors, la nuit tombe, mais les deux hommes ...
... ne semblent pas voir le temps passer. Je me couche sur le côté, la tête appuyée sur un coude. Luigi ranime le feu dans la cheminée puis reprend sa place à table.
À l’extérieur, par la porte ouverte, on entend les moutons bêler et agiter leurs clochettes. Le soir avance, les deux hommes ne parlent plus que de temps en temps, par courtes phrases. Bientôt ils se lèvent et débarrassent la table, puis Luigi part faire un tour vers le troupeau.
Marco est venu s’asseoir sur le lit, il s’est placé à ma tête et j’ai posé ma joue sur sa cuisse. Il caresse tendrement mes cheveux, me parle à voix basse. Son timbre suave me touche, je devine qu’il me déclare son amour et appréhende notre séparation proche. Sa main s’introduit dans le sarrau, palpe mes seins. Je me laisse caresser, retrouvant les gestes qui ont préludé à notre union de la veille. Dehors, les grillons chantent, je me dis que le bonheur était possible avec lui.
Petit à petit, il a dénudé mes seins, maintenant il en joue avec beaucoup d’application, faisant naître en moi un désir qu’il serait fou de satisfaire sur-le-champ. Pourtant il dégrafe son jean en se contorsionnant et exhibe bientôt son sexe tendu. Je me redresse pour lui signifier mon désaccord, mais il amène doucement et fermement mon visage contre son membre. Résignée, je me retourne et, allongée face à lui, cède à son caprice déplacé. Il a dégagé entièrement son sexe, offrant un spectacle alléchant. Je l’aspire dans ma bouche, goûtant une dernière fois ...