1. Elise au clair de lune


    Datte: 14/08/2019, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, grosseins, forêt, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, entreseins, Oral Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe

    ... présentation qui n’a pas encore officiellement eu lieu, mais je garde les yeux baissés, cet homme me fait horreur. Nous mangeons dans un silence insupportable. Je leur jette des coups d’œils à la dérobée. Luigi ne s’occupe que de son assiette, mastiquant longuement, sans état d’âme apparent. Marco semble gêné, sans appétit. À la fin du repas, une discussion animée s’engage entre les deux hommes et je comprends tout de suite que j’en suis le sujet central.
    
    Je savais que Luigi allait tester les réactions de la fille avant de repartir pour le troupeau. Je voulais qu’il soit respectueux avec elle. Je lui ai dit qu’elle était ici par la grâce de Dieu. Il a ricané :
    
    — Tu baises l’envoyée de Dieu, compadre ?
    
    Il estimait qu’il avait le droit de prendre sa part de plaisir autant que moi.
    
    Soudain, Luigi se lève et s’approche de moi. Il tente de me toucher la joue mais je me protège avec les bras. L’homme grogne quelque chose et Marco s’accroupit près de moi. Il me parle doucement en me caressant la main. Ses yeux sont pleins de compassion, mais il semble m’exhorter d’être compréhensive. Puis il prend la main de Luigi et la pose lui-même sur mon visage.
    
    L’homme promène ses doigts sur mes joues, mon nez, mon front et ma bouche. Puis sa main descend plus bas, sur ma poitrine. J’esquisse un geste de défense, mais Marco m’en dissuade. L’homme pelote grossièrement mes deux protubérances cachées sous la couverture. Puis il se décide à les dénuder. Je m’y oppose et reçois une ...
    ... claque qui me cingle l’oreille droite. Marco ne bronche pas. Luigi vocifère en italien puis dénoue le vêtement improvisé, dévoilant mes seins.
    
    Il me prend par les épaules et me fait pivoter sur le tabouret afin de lui faire face. Marco s’interpose verbalement, les deux hommes se jaugent du regard. Puis, par défi, Luigi rejette mes épaules en arrière, faisant saillir mes appâts.
    
    Qu’est ce que je pouvais dire ? Qu’est ce que je pouvais faire ? Il la contemplait, assise demi-nue sur ce tabouret, et aucun homme n’aurait pu résister. La masse blanche et imposante des gros seins, leur base plus évasée qui dépasse un peu la largeur du thorax, cependant que leurs pointes brun caramel saillent vers le haut. J’étais aussi fasciné que lui de voir que de tels volumes, subissant la loi de la pesanteur, paraissaient presque la narguer. Pour être complet dans mes impressions, je dirais que le contraste entre la lourdeur de la poitrine et le reste du corps, élancé, allié aux traits fins de son visage, témoignait d’une féminité quasi-irréelle.
    
    Je suis humiliée par la situation, réduite à un rôle de femelle-objet. Pourtant je soutiens le regard plein de convoitise du berger, comme une bravade. Il s’apprête à profiter de son avantage, je le lis dans ses yeux. Déjà, il bouscule mon sein gauche qui déborde de la grosse patte calleuse qui essaie de le posséder. Il y met les deux mains, savoure le contact des gros fruits qui roulent sans cesse de ses paumes. Il me palpe sans chercher à me ...
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