1. Elise au clair de lune


    Datte: 14/08/2019, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, grosseins, forêt, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, entreseins, Oral Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe

    J’ai 25 ans, je vis seule et cette situation me convient parfaitement. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été indépendante et j’en suis arrivée à me persuader d’être la mieux placée pour me donner du plaisir. Je ne me demande même plus si je trouverai l’âme sœur un jour. Je n’ai eu à ce jour qu’une expérience sexuelle avec un garçon et cela a été un fiasco. C’était lors d’un anniversaire.
    
    J’avais 17 ans et j’avais craqué pour un garçon de 21 ans. Il m’avait raccompagnée en voiture et s’était arrêté en chemin. L’échange de baisers brûlants, les caresses de plus en plus hardies, mes seins dévoilés qui l’excitaient tant, et l’amour, vite fait, dans une position peu commode. La déchirure douloureuse de la première fois et lui qui jouit tout de suite, maladroitement. Puis l’humiliation, la colère du jeune mâle qui découvre la banquette de la voiture de son père tachée par le dépucelage, et qui me pousse dehors, quasi nue, mes vêtements jetés sur le bas-côté.
    
    Après ce traumatisme, plus rien d’autre que des histoires platoniques avec les garçons dont je me méfiais, et des jeux de regards avec les filles, sans que l’on sache vraiment si cela peut devenir plus sérieux.
    
    Je suis devenue amoureuse de moi-même, de mon corps, de mes formes et je pense que je suis la seule à savoir comment m’aimer. Je ne me refuse rien pour exalter cet amour et je m’invente des situations érotiques de plus en plus audacieuses. En ce moment, j’atteins le nirvana de l’excitation sexuelle ...
    ... en me promenant nue à la nuit tombée !
    
    Mes parents possèdent une maison dans les Alpes Maritimes, dans l’arrière-pays, le long de la frontière italienne. J’aime y passer quelques jours en fin d’été. Les soirées sont parfois si douces à cette époque de l’année que j’aime m’exhiber dans le jardin, derrière la maison à flanc de colline. J’y ai pris goût, à tel point que durant mon séjour j’attends chaque soir avec impatience pour me livrer, nue et frémissante, à la clarté de la lune. Pour amplifier encore l’état de quasi-transe qui s’empare de moi, j’ai découvert qu’il me fallait me mettre en danger et me risquer plus loin à l’extérieur de la maison.
    
    Je n’ai pas d’heure précise pour partir, j’attends juste que les lumières des maisons du hameau du bas soient éteintes, laissant place à la sérénité silencieuse qui s’empare de ce coin perdu des Alpes Maritimes. Je contemple alors, de la terrasse, l’étendue déserte de mon flanc de montagne, je goûte la douce quiétude qui m’entoure, hume la brise délicate toute chargée de senteurs provençales, et souris en pensant aux délices qui m’attendent. Puis je me déshabille entièrement, enfile une paire de tennis et sors par la porte de derrière, celle qui donne sur l’amont de la pente.
    
    Je referme soigneusement avec la clef que je dépose dans un pot de fleurs. Je traverse le petit jardin, escalade le muret, saute dans le sentier puis, précaution ultime, parcours à demi-recourbée la centaine de mètres qui me séparent du bosquet qui me ...
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