Oui Maître - Histoires de Sexe

Oui Maître

... Sylvie ne la quitte pas des yeux. Elle la désire mais n’ose me le demander. J’en profite pour la taquiner et lui essuie le menton du bout de mon sexe. Elle sait qu’elle n’a pas le droit de le prendre en bouche sans mon consentement. Une fois son menton bien essuyé, je place mon gland sur ses lèvres. Elle en profite subrepticement pour le humer. Tout en gardant mon sexe sur ses lèvres, je l’invite à se masturber en faisant attention de ne pas atteindre l’orgasme. Je vois deux de ses doigts disparaître dans sa chatte et, tout en gardant mon sexe en équilibre sur sa bouche jointe, elle se branle avec frénésie.

– À présent, vous pouvez me sucer, Soumise. Je vous autorise à jouir au moment où je me déverserai dans votre bouche.

– Merci, Mon Maître.

Sur ce, elle m’engouffre tout entier au plus profond de sa gorge. Je sens la douceur de sa langue s’activer le long de ma verge. Celle-ci, toujours nichée dans la chaleur humide de sa bouche, durcit à vue d’œil. Voulant me garder au plus profond d’elle-même, elle s’en étouffe et des larmes lui échappent. C’est alors qu’elle me libère, en profite pour reprendre une grande goulée d’air et me ...

... reprend entièrement dans sa bouche. Je sens que je ne vais tenir longtemps à ce rythme de friction de sa langue sur ma hampe. À sa façon de me prodiguer sa fellation, je devine qu’elle veut me témoigner toute sa gratitude. Sa bouche s’active plus rapidement le long de mon sexe. Ses doigts dans sa chatte tournoient de plus belle. Ses gémissements trahissent sa jouissance toute proche. Elle resserre plus fort ses lèvres sur mon gland pour me branler de sa bouche. Mes reins se cambrent, je me délecte de cette « petite mort » et éjacule à grands flots dans sa bouche. Elle jouit à l’unisson. Mon foutre dégouline aux commissures de ses lèvres, aussi arrondit-elle au mieux sa bouche autour de ma verge pour ne rien perdre. Lorsque je reprends mon souffle, elle se redresse fièrement, joint à nouveau ses mains dans le dos et ouvre la bouche pour me montrer tout mon sperme qu’elle a recueilli.

– Je t’autorise à te régaler.

Elle referme la bouche et exprime sa joie d’avaler son nectar. Elle me nargue à nouveau en me remontrant l’intérieur de sa bouche, vide cette fois-ci. Je lui flatte la tête.

– Vous m’avez comblée, Mon bon Maître, je vous en remercie.