Oui Maître - Histoires de Sexe

Oui Maître

... spectacle qui lui est offert, en profite pour baisser son pantalon et, à la vue de la chatte luisante de Sylvie, commence à se masturber.

Du bout de la cravache, j’écarte les petites lèvres et insinue la palette de l’accessoire à l’orée de son vagin pour aller taquiner son clitoris gonflé de désir. Sylvie commence à se pâmer sous les attouchements de ma cravache.

– J’aime ce que vous me faites, Maître.

Le branle de son clitoris déclenche chez Sylvie un orgasme qu’elle exprime par une expiration appuyée et prononcée entre ses dents.

– Vous ai-je autorisé à jouir ?

– Non, Maître. Pouvez-vous me punir pour cet écart de ma part, Maître ?

– Prenez position.

– Voilà, Maître.

– Êtes-vous prête ?

– Oui, Maître, je suis prête.

Les coups cinglent à nouveau sur ses fesses et Sylvie hurle sa souffrance au travers du compte qui lui est imposé. Surtout ne pas gémir, uniquement compter les coups, surtout ne pas en jouir. Mais au huitième coup de cravache…

– Maître, je sens que je vais jouir, je n’en peux plus, Maître.

– Vous êtes autorisée à jouir.

À peine l’ai-je permis qu’elle exulte par un râle comme si on l’avait brûlée au fer rouge. Elle jouit sans s’arrêter tout en comptant les deux derniers coups de sa punition. Sur ordre, elle me remercie et à nouveau baise ma main qui l’a corrigée. Au même moment, les jambes semi-fléchies et le dos arc-bouté, Karl se met à jouir par grandes saccades de sperme qui s’écrasent sur le carrelage. Son râle est ...

... rauque. Sa main tire sur son gland comme pour en extraire les dernières gouttes qui perlent au méat.

– Ce que c’est bon ! éructe-t-il. Bon sang, que c’est bon de voir ma Sylvie jouir ainsi ! Je ne l’ai jamais vue dans cet état. Vous êtes incroyable !

– Soumise, relevez-vous et descendez de cette table.

Non sans peine, Sylvie descend de la table et reprend une position parfaite à mes côtés, les mains jointes dans le dos. Du bout de ma cravache et sans mot dire, je lui fais plier les jambes de telle sorte qu’elle se retrouve à genoux. Ses mains sont toujours jointes dans le dos. Cette fois, j’imprime du bout de mon instrument une pression sur la nuque de Sylvie qui se retrouve ainsi le nez au milieu du sperme qui jonche le sol. Elle comprend parfaitement mes intentions et d’un regard attentif guette mon ordre.

– Régalez-vous, chère Soumise.

Il n’en faut pas moins à Sylvie pour que de la langue elle lèche le sol en quête du foutre de Karl étalé là devant elle. Elle se redresse fièrement dès sa tâche accomplie. Son menton est maculé de la semence de Karl. Je m’assois dans le fauteuil vis-à-vis de celui de Karl et, en tapotant sur ma jambe, invite Sylvie à me rejoindre. Tout en restant à genoux, elle traverse le salon pour venir se nicher entre mes jambes. Je lui fais reposer la tête sur ma cuisse et lui caresse tendrement ses cheveux. Elle est aux anges, son mari aussi. De mon autre main, j’entreprends de défaire ma ceinture, j’ouvre ma braguette et libère ma verge. ...