Oui Maître - Histoires de Sexe

Oui Maître

... d’entendre votre femme commenter votre première union ?

– Ne le voyez-vous pas ? dit-il en désignant sa verge au travers de la déformation de son pantalon

– Et vous, Sylvie, êtes-vous émue de vous remémorer cette première fois avec Karl ?

– Oui, Maître.

– Nous allons vérifier cela. Asseyez-vous sur la table de la salle à manger.

– Bien, Maître.

Tout en gardant les mains jointes dans le dos, elle se dirige vers la dite table et, s’aidant d’une chaise, s’assoit sur le plateau.

– Bien. Allongez-vous maintenant sur la table.

Elle s’exécute, et du bout de la cravache je la guide pour qu’elle relève les jambes, pieds ramenés près des fesses, afin d’apercevoir sa culotte blanche de dentelle. Je lui indique de placer ses mains le long du corps.

– Tout en restant allongée, vous allez retirer votre culotte.

– Oui, Maître.

Et sans hésitation elle retrousse sa jupe juste ce qui est nécessaire pour attraper sa culotte, la faire glisser le long de ses jambes et me la tendre.

– Voici, Maître.

Je la prends et la remets à Karl qui se précipite pour la sentir.

– Hum, j’aime son odeur…

Sylvie est allongée sur la table, les yeux mi-clos, et je devine qu’elle apprécie la bonne tournure des événements. Par ailleurs, elle ne refuse pas de bien écarter ses cuisses, nous offrant la vue de son sexe épilé, ce qui fait réagir son mari.

– Waouw, elle s’est rasé la chatte ! Je ne le savais pas, quand l’as-tu fait ?

– Ce matin, je me suis dit qu’il… ...

... pardon, que mon Maître apprécierait que je sois propre et entretenue.

– Vous avez parfaitement raison, Sylvie. Seulement vous avez pris une initiative qui, je vous le rappelle, doit être punie. Comme vous n’étiez pas encore au courant des règles ce matin, je vous accorde le bénéfice d’éviter cette punition mais vous voici ainsi prévenue.

– Maître ?

– Qu’y a-t-il ?

– Je vous ai entendu dire à mon mari tout à l’heure que je serai une parfaite soumise lorsque je réclamerai mes punitions à mes déviances d’obéissance.

– C’est vrai.

– Aussi permettez-moi de vous demander de me corriger pour cette initiative que j’ai prise, même si je n’étais pas au courant des règles, Maître.

– Qu’il en soit ainsi.

– Merci, Maître.

– Placez-vous à genoux sur la table, retroussez votre jupe pour m’offrir vos fesses, et posez votre visage sur vos mains sur la table, voilà, la croupe bien tendue pour recevoir votre punition.

Alors que je la guide du bout de ma cravache, elle se retourne sur les genoux et empoigne sa jupe pour la retrousser au-dessus de ses hanches. Ses fesses sont magnifiques. Ça va être un régal ! Joignant les mains sur la table, elle repose son visage dessus tout en conservant les reins cambrés et les fesses bien hautes.

– Soyez bien attentive. Je vais vous administrer une série de dix coups, vous devrez les compter à haute et intelligible voix et je ne dois rien entendre d’autre, j’ai bien dit rien d’autre que le décompte des coups qui s’abattront sur ...