Oui Maître - Histoires de Sexe

Oui Maître

... courbe de ses hanches et ses chaussures à talons aiguilles la grandissent admirablement. Tout en me levant vers sa direction, j’en profite pour ramasser la cravache.

– Votre chemisier est trop fermé, votre gorge n’est pas mise en val…

Je ne puis terminer ma phrase qu’elle tente de défaire deux boutons de son chemisier. Immédiatement, elle reçoit une petite tape de cravache sur la main.

– Je vous rappelle : aucune initiative, vous n’agissez que sur ordre, compris ?

– Oui, Maître.

– Bien, vous pouvez rajuster votre tenue à présent.

Elle défait alors ses deux boutons, nous dévoilant ainsi le sillon magnifique de son entre-seins, et reprend sa position initiale.

– Parfait. Karl, vous pouvez vous féliciter de POSSÉDER une si charmante femme. Quand en avez-vous fait l’acquisition ?

– Nous nous sommes mariés il y a douze ans.

– Vous n’avez pas répondu à ma question, quand et où en avez-vous fait l’acquisition ?

– Ah ! C’était il y un peu plus de treize ans à une fête donnée chez des amis.

– Et ?

– Ça a été le coup de foudre, et nous avons fait l’amour pour la première fois dans les toilettes de nos amis à cette fameuse soirée.

– Détaillez, je vous prie.

– Eh bien, que dire …

– Sylvie, détaillez, je vous prie.

– Oui, Maître. Karl m’a embrassé tellement fougueusement lors d’un slow que je me suis collée à lui…

– Et ?

– Je me suis… masturbée en me frottant à son érection…

– Et ?

– Et il m’a entraîné discrètement aux ...

... toilettes.

– ET ? Je m’impatiente, ne me forcez pas à vous arracher les mots, exprimez-vous avec liberté, enfin !

– Oui, Maître. Je le désirais tout à moi. Je lui ai baissé son pantalon tout en l’embrassant à pleine bouche. Il… il était dur… enfin, vous voyez ce que je veux dire… Il s’est assis sur les toilettes et je l’ai chevauché. J’ai joui immédiatement lorsqu’il m’a pénétrée, puis une seconde ainsi qu’une troisième fois. J’en perdais la tête tellement Karl me procurait des orgasmes successifs.

– Toutes mes félicitations, votre récit est parfait.

– Maître ?

– Oui ?

– Puis-je finir, Maître ?

– Bien sûr, je vous en prie.

– Merci, Maître. Sachant que Karl n’avait pas joui, je me suis dégagée et agenouillée devant lui pour le prendre en bouche. Son sexe était enduit de mes secrétions vaginales de jouissance et j’en aimais le goût. Tout en le suçant, je l’ai branlé activement pour le faire venir rapidement. Il m’a éjaculé en pleine bouche de très grandes saccades de sperme chaud, je n’arrivais pas à avaler. Ma bouche se remplissait tant que je m’en suis étranglée. C’était la première fois que j’autorisais un homme à me jouir dans la bouche. Ma surprise passée, je me suis appliquée à avaler et à continuer à le pomper comme pour en extraire la moindre goute. Voilà, Maître.

– Parfait ! Le récit de Sylvie est-il exact, Karl ?

– Je n’en reviens pas. Nous n’en avons jamais reparlé et elle en a gardé le souvenir comme si c’était hier.

– Cela vous excite-t-il ...