Le métro : place assise ou debout? (1)
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mir, Source: Xstory
... souillait. Je vis qu’il bandait à nouveau. Il retira ma main de mon sexe.
- Laissez-moi vous aider…
Sans attendre ma réponse, il écarta mes jambes et me pénétra. En même temps, il jouait avec mon clitoris. Son habileté et ses coups de reins achevèrent de faire monter mon plaisir. J’entourai son bassin de mes jambes et le suppliai de me baiser à fond. Il accéléra, jusqu’à ce que je crie, pleurant presque de plaisir en me contorsionnant sous lui pour accentuer ses pénétrations. Il jouit à son tour, commençant à juter dans ma chatte. Il se retira alors :
- Pardon, j’avais oublié, pas dans votre chatte…
Et il acheva d’éjaculer sur mon ventre et mon visage.
Il se releva, me laissant étendue, haletante, inerte, nue, jambes écartées et relevées, en grande partie couverte de son sperme, allongée dans le sperme du conducteur qui avait coulé de mon cul.
Je l’entendais discuter avec le conducteur, qui se plaignait des jeunes qui avaient manifestement envoyé des giclées de foutre sur les vitres du wagon. Il dit qu’il allait amener la rame dans un coin tranquille pour que nous puissions tous en sortir sans danger. J’entendis ses pas s’éloigner dans la rame. Mon inconnu s’agenouilla à côté de moi, m’assit en partie et commença à essuyer le sperme qui me couvrait, s’interrompant de temps en temps pour caresser mes seins et murmurer des remerciements. Je soupirais d’aise, m’abandonnant entièrement contre lui.
Je sentis la rame se mettre en branle. Les cris des ...
... jeunes s’éloignèrent. Je me blottis contre mon inconnu.
- Il va falloir vous rhabiller maintenant, vous ne pouvez pas sortir comme ça.
Il m’aida à remettre ma jupe, mon débardeur et ma veste. Tandis qu’il me rhabillait, je sentais sa queue se tendre à nouveau contre moi. Pas possible, une troisième érection… La rame roulait toujours.
- Franchement, quand je vous ai vue arriver dans le wagon, embarrassée par une mauvaise plaisanterie, je n’aurais jamais cru que cela finirait de cette façon. Il va falloir que je justifie mon absence au travail, mais ça en valait la peine.
Il me tenait contre lui, mon dos plaqué contre son torse, en embrassant délicatement mon cou et frottant son sexe bandé contre mes fesses. Je relevai ma jupe. Sans rien dire, il ressortit sa queue et s’enfonça, sans difficulté, dans mon cul. Je bougeai les hanches, me sodomisant sur lui, alors qu’il agrippait mes épaules et mes cheveux. Cela ne dura qu’une minute : il éjacula très vite dans un ahanement, et bien moins que les fois précédentes.
- Merci… Je dois dire qu’après avec vu le conducteur avec vous, j’en avais très envie.
Il se retira, m’essuya rapidement le peu de sperme qui coulait et se rajusta.
- Tenez, je vous laisse mon numéro de portable, vous avez l’air d’aimer faire les choses… disons, à ma façon.
La rame s’arrêta. Le conducteur, l’air maintenant un peu gêné, vint nous chercher et nous guida jusqu’à une sortie. Il retourna dans les couloirs souterrains sans un regard pour ...