Le métro : place assise ou debout? (1)
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mir, Source: Xstory
... presque.
Retrait, pénétration, contractions, montée du sperme le long de sa queue et davantage de foutre dans ma bouche. J’essayai d’avaler, mais son gland bloquait ma gorge, j’avais peur d’une fausse route et laissai le sperme s’échapper de mes lèvres. Lorsque pour la troisième fois il se retira, je déglutis rapidement avant son retour et la suite de son éjaculation.
Il fit une dizaine d’aller-retours en moi de cette façon, ses râles se transformant en cris et gémissements. Je n’avalais pas assez vite, chacune de ses giclées finissait en partie sur mes lèvres et mon menton, jusqu’à couler le long de mon cou.
Le conducteur du métro, qui s’était masturbé tout ce temps sans rien dire, me releva à moitié pour me positionner à genoux, le buste contre l’assise d’un siège. Place assise, place debout, place agenouillée maintenant. J’entendais vaguement, à l’extérieur, les cris de frustration et de colère des jeunes : dans ce coin du wagon, j’échappais en partie à leurs regards.
Le conducteur prit un peu de cyprine dans mon sexe, la plaça sur mon anus et y positionna son sexe bandé à l’extrême.
Je n’étais plus en état de réfléchir. Tout cela était-il bien réel ? Un simple fantasme de masturbation pouvait-il m’avoir conduite à me faire baiser par un inconnu devant cinq ou six jeunes qui me prenaient en photo, puis à me faire remplir de sperme dans une fellation violente, pour finir à genoux, prête à accepter la sodomie d’un second inconnu ?
Alors que je tentais de ...
... faire le point, une vive douleur me transperça : le conducteur venait d’insérer son gland en moi, sans douceur. Je glapis et tentai de me redresser.
- Fais pas ta mijaurée, petite salope, détends-toi, ça va aller…
Et il m’enfonça, lentement, le reste de sa queue. Je haletai et finis par écarter mes fesses de mes mains, pour faciliter la pénétration. J’avais rarement pratiqué la sodomie avec mon ex, parce que je n’osais pas lui dire à quel point j’aimais ça.
Le conducteur me saisit aux hanches et commença à m’enculer, sans se préoccuper de moi. Je me mis à geindre. Il accéléra en haletant et en me traitant de pute. La sauvagerie de ses mouvements me déchirait le cul, mais je ne pouvais m’empêcher de gémir de plaisir, me masturbant en même temps.
Un coup de hanches plus puissant que les autres me cloua contre le siège ; le conducteur cria en agrippant et griffant mes épaules. Je sentis sa queue déjà large gonfler davantage, rendant la dilatation de mon anus à peine supportable, et éjaculer abondamment. Chaque giclée me remplissait, je sentais la chaleur envahir mon rectum, jusqu’à ce que je sois pleine et que le foutre s’écoule à l’extérieur.
N’ayant pas joui, je continuais à me masturber en haletant. Le conducteur se retira brusquement, dans un bruit de succion mouillé. Tout le sperme se déversa d’un coup le long de mes cuisses.
Mon inconnu, qui était resté en retrait, m’attrapa par la taille et m’allongea sur le sol du wagon, sans se soucier du sperme qui me ...