1. Le métro : place assise ou debout? (1)


    Datte: 12/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... fantasme.
    
    De son côté, mon inconnu ne maintenait plus son journal que d’une main : de l’autre, il remontait le long de ma cuisse sous ma robe. Mon sac à main, posé sur mes genoux, dissimulait ses gestes. Il avait fini par trouver mon entrejambe et me caressait délicieusement le clitoris, repoussant la ficelle de mon string pour enfoncer lentement un doigt dans mon sexe déjà humide.
    
    Nous nous masturbions mutuellement depuis environ cinq minutes, nous regardant de temps en temps, l’air un peu perdus, lorsqu’une vieille dame monta dans le wagon et, debout à côté de nous, demanda qu’on la laisse s’asseoir. Lorsque je me levai pour lui céder ma place, l’air de frustration de mon inconnu retirant sa main de mon sexe valait son pesant d’or… Mais c’était au contraire se lever pour… mieux sauter, comme le dit (presque) le proverbe. Je m’adressai à lui :
    
    - Mon chéri (il écarquilla les yeux), tu sais que je suis encore un peu fatiguée, je peux m’asseoir sur tes genoux ?
    
    La vieille dame s’apprêtait à s’éloigner, s’excusant et disant qu’elle allait s’asseoir ailleurs.
    
    Nous nous écriâmes de concert :
    
    - Non non, restez là, pas de problème !
    
    Mon inconnu rabattit progressivement son journal au fur et à mesure que je me décalai vers lui. Il souleva discrètement l’arrière de ma jupe lorsque je plaçais mes fesses au-dessus de ses jambes.
    
    La vieille dame me sourit en s’asseyant.
    
    - Vous êtes vraiment adorable… Mais je ne veux pas que vous soyez dans une position ...
    ... inconfortable…
    
    - Pas d’inquiétude madame, je m’en accommoderai, je pense.
    
    Le rire étouffé de mon inconnu m’excita encore davantage.
    
    Ecartant légèrement les jambes, je m’assis lentement sur son pénis, qui me pénétra en douceur. Je sentis son gland écarter mes lèvres trempées, s’insérer en moi, suivi de toute la longueur de sa hampe. Son sexe palpitant me dilatait délicieusement. J’espérais que mon visage ne laisse rien paraître de mon excitation et mon désir. Je ne pouvais bouger au-dessus de lui, c’était une terrible frustration d’avoir cette splendide queue en moi et de la sentir immobile, quand je rêvais de la sentir me défoncer la chatte…
    
    Mon inconnu glissa discrètement une main sous ma veste, cela passait juste pour un geste d’amoureux un peu osé en public. En fait il avait réussi à franchir la barrière du débardeur et me pinçait un téton, en malaxant doucement le lobe de mon sein droit. Je me mis à contrôler ma respiration, pour éviter de laisser transparaître mon plaisir. Je commençai aussi à contracter ma chatte sur sa queue ; je sentis cette dernière raidir davantage et les pulsations qui la parcouraient s’intensifier. Je me retenais de haleter, c’était tellement bon…
    
    La situation se prolongea jusqu’au terminus : nous n’osions bouger, pris dans notre plaisir et notre frustration de ne pouvoir faire plus.
    
    Le conducteur annonça au haut-parleur qu’en raison d’une inondation partielle du réseau, la ligne allait être temporairement fermée, le temps que les ...
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