Le métro : place assise ou debout? (1)
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mir, Source: Xstory
... circuits électriques soient sécurisés. Ce hasard me rassura : j’appréhendais le moment où j’allais me relever, le bruit mouillé de la queue sortant de ma chatte, les passagers tardant à sortir s’apercevant de ce que nous faisions… Nous avions le temps, la rame n’allait pas bouger.
Nous attendîmes donc que tout le monde soit descendu. Mais lorsque je commençai à me lever, mon inconnu agrippa mes hanches et me rassit sur son pénis, me repénétrant. Je lâchai un ahanement, puis me relevai à nouveau : nouveau mouvement de sa part qui me fit m’empaler sur lui. Je me mis à haleter, sans réfléchir au conducteur qui allait sans doute venir vérifier que tout le monde avait quitté la rame. Contrôlant mon basson, mon inconnu me faisait coulisser sur lui plus rapidement, me faisant gémir sourdement. Je le laissai donc me baiser ainsi, en prenant appui sur le siège pour ne pas perdre l’équilibre et mieux me soulever avant de me rassoir sur sa queue tendue.
Alors qu’il accélérait, nous entendîmes un cri de protestation.
Gagné, le conducteur… Il venait d’entrer dans le wagon par une des portes faisant la jonction entre deux wagons (les portes de la rame devaient être bloquées, pour empêcher quiconque de monter à nouveau) et il avait l’air furieux. Je le regardai sans parvenir à mettre fin à la pénétration, hagarde : perdue dans mon plaisir, je me contentai de haleter plus fort et de gémir ouvertement. Il nous dit quelque chose, sans que je comprenne. Mon inconnu ralentit le ...
... rythme, parla à son tour. Le conducteur sembla se calmer, se contentant de me regarder d’un air méprisant. Il finit par poser parterre sa sacoche, ouvrit sa braguette et commença à se caresser en nous regardant.
Je gémis plus fort. Être baisée devant un voyeur : un de mes fantasmes. Je n’arrivais pas à réaliser que celui-ci aussi prenait vie.
Mon inconnu, cessant tout mouvement, me chuchota :
- Vous me disiez, en entrant dans ce wagon, hésiter entre une place assise et une place debout… Il est temps d’expérimenter la seconde option…
Il me releva. La sensation de vide qui me saisit lorsque son sexe sortit du mien me fit geindre. Mon inconnu m’ôta rapidement ma jupe, ma veste et mon débardeur, me laissant mon string, me plaqua contre la vitre de la porte et revint me pénétrer, de dos.
C’est alors que nous vîmes ce qui nous avait échappé depuis l’arrêt de la rame… Un groupe de quatre ou cinq jeunes était resté et matait avidement nos corps en mouvement. Ils comprirent que nous les avions vus, perdant alors toute discrétion et toute retenue. Ils se mirent à tambouriner contre les portes, sortirent leur sexe pour se masturber devant moi, m’insultèrent.
Sans cesser de me baiser, mon inconnu saisit ma veste restée à terre et me la donna.
- Attention, ils ont sorti leurs téléphones…
Je mis ma veste sur mon visage : je ne tenais pas à pouvoir être identifiée sur les images.
- Vous préférez qu’on arrête ?
Je tâchai de maîtriser mes gémissements.
- Non, au ...