1. Le plaisir à l'école


    Datte: 09/08/2019, Catégories: f, fh, ff, école, fsoumise, fdomine, contrainte, revede, fsodo, jouet, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... tremblante.
    
    « La » succube se frotte sur le visage de sa proie.
    
    — Pourquoi suis-je toujours obligée de tout faire toute seule ?
    
    Estelle s’abandonne en un râle, complètement étouffé dans les lèvres de sa maîtresse.
    
    — D’accord, je vais le faire.
    — Bien.
    
    Mon sang ne fait qu’un tour. Le tigre a senti le gibier. Violette, l’acolyte d’Amaryllis, se dirige vers la porte.
    
    — Eh, toi ! Qu’est-ce-que tu fous là ? C’est mon masque.
    
    « Cours, Forrest ! » Je claque la porte et trace vers l’escalier. J’ai un peu d’avance. Arrivée en haut, je balance le masque et j’entre dans la salle de réception. Je suis essoufflée ; elle va arriver d’une seconde à l’autre. Comment je peux faire ?
    
    Je me fais plaquer contre le mur. Ma bouche est envahie. Il se passe quoi, là ?
    
    — Tais-toi, bouge pas.
    
    Le baiser reprend, doux et attentionné, une caresse subtile et tendre. Des frissons me parcourent le corps au toucher de ses mains.
    
    Violette entre à son tour, enragée, balaye l’ensemble de la pièce d’un regard furibond. Elle s’arrête sur nous, mais passe son chemin et s’enfonce dans l’assistance.
    
    — Merci.
    — De rien.
    — Dis donc, tu l’as sacrément mise en rogne.
    — On dirait. Comment tu as su ?
    — Je t’ai vue courir dans l’escalier, et l’autre que te suivait.
    — C’est gentil de m’avoir aidée.
    — C’est normal.
    — Moi, c’est Marie.
    — Et moi…
    — Ève.
    — On se connaît ?
    — Je te connais, mais je connais surtout ta marraine. Agathe. Je partageais sa chambre pendant ma première ...
    ... année. Elle m’a demandé de veiller sur toi. Je n’ai pas eu beaucoup de temps jusqu’ici, mais on dirait que je tombe à pic.
    — En effet. Encore merci.
    — C’est rien ; c’est pas comme si c’était une torture. Viens, on va continuer à donner le change.
    
    Elle me tire par la main vers les fauteuils du fond de la salle.
    
    — Mets ta jambe sur la mienne. La main sur mon ventre. Voilà, on va être tranquille pour causer un peu.
    — Elles vont penser qu’un couple s’est formé.
    — Ça te dérange ?
    — Pas du tout : c’est nettement préférable à ce qui m’attendait.
    — T’inquiète pas ; de toute façon, tout le monde sait que j’ai un copain et que c’est du solide. Même si ça ne m’a jamais empêchée de m’amuser ici.
    — On a le droit d’avoir un mec ?
    — Tu t’es crue dans un couvent ?
    
    À la réflexion, il y a quand même quelques similitudes : que des filles, l’uniforme…
    
    — Non, bien sûr. Mais il peut venir te voir ? Comment vous faites ?
    — Il n’a pas accès à l’école, ni au parc. Mais il y a un lieu spécifiquement prévu pour les couples.
    — Où ça ?
    — Quand tu es arrivée, tu es forcément passée à côté. C’est une petite maison, tout au bout du parc, près de l’arrêt de bus. Les hommes ont accès à cette maison. Leurs entrées et sorties sont néanmoins surveillées. Il y a des grandes chambres, un peu comme celles de l’école mais plus spacieuses.
    — Elles sont déjà grandes ici.
    — Chaque couple a sa chambre et peut y laisser des affaires. La maison a une entrée rue et une entrée parc. Chaque chambre a un ...