1. Le plaisir à l'école


    Datte: 09/08/2019, Catégories: f, fh, ff, école, fsoumise, fdomine, contrainte, revede, fsodo, jouet, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... discrètement avec Estelle. Où vont-elles ? C’est trop tentant, je dois les suivre. Il faut que je leur laisse un peu d’avance ; hors de question que je me fasse attraper cette fois. Dans le couloir, quelques couples se sont formés. Maya butine allègrement une jolie fleur.
    
    Elles ont dû descendre l’escalier vers les salles de cours des « deuxième année ». Le couloir est éteint, les seules lumières proviennent de l’extérieur. Suffisant pour me repérer. Une des salles semble partiellement allumée, la porte est entrouverte.
    
    « Est-ce que je ne suis pas en train de tomber dans un piège ? Ne devrais-je pas écouter les sages conseils de la directrice ? Réfléchis… Qu’est-ce-que tu t’attends à voir ? C’est pas aujourd’hui que tu auras des réponses à tes questions. Sois patiente. »
    
    Je suis sur le point de faire demi-tour quand je reçois un signe. De qui, de quoi ? J’en sais rien, mais ce masque de tigresse n’est pas là pour rien. Je l’enfile et passe la tâte dans l’entrebâillement de la porte.
    
    Ma témérité est récompensée au-delà de mes espérances. Estelle est à califourchon sur un homme.
    
    Elle me tourne le dos. Je me déplace un peu pour tenter d’en voir plus, mais je n’aperçois que les jambes du mec, un peu de son torse et sa queue qui apparaît et disparaît au rythme des mouvements de bassin de sa cavalière. Je n’arrive pas à savoir comment sont positionnés ses bras. Sont-ils attachés au-dessus de sa tête ou occupés à peloter les bonbons d’Estelle ?
    
    Amaryllis est à ses ...
    ... côtés.
    
    — Tu vas me l’amener.
    — Je ne peux pas.
    — Bien sûr que tu peux ; qu’est-ce qui t’en empêcherait ?
    — Elle va se méfier.
    — Tu sauras la convaincre, elle aura confiance en toi.
    — Je ne veux pas.
    — Je comprends. Tu avais moins de scrupules les autres fois.
    — C’est pas pareil.
    — Oh, tu es amoureuse ?
    — On se connaît mieux maintenant.
    — Tu sais, je ne t’oblige à rien. C’est vrai que ce ne serait pas très cool de ta part. Oublions ça. Tu n’aimes pas trop jouer avec, de toute façon.
    — Quoi ?
    — C’est pas comme si tu étais en train de prendre ton pied. Tu n’auras aucune difficulté à te passer de lui jusqu’à la fin de l’année. De lui et de tes joujoux.
    — Non, s’il te plaît, tu peux pas faire ça.
    — Je ne peux pas, ou je ne devrais pas ?
    — Je t’en prie.
    — Je ne suis pas ingrate : tu pourras l’avoir pendant une semaine si tu fais ce que je te dis. À toi de voir.
    — Je ne sais pas.
    — Prends ton temps, profite. Qui sait quand il pourra te faire jouir à nouveau ?
    
    Amaryllis enjambe le torse du mâle. Son bassin est à hauteur de la tête d’Estelle. Elle relève à peine sa jupe, plus mi-chatte que mi-cuisses. Elle lui caresse la nuque, le cuir chevelu, lui saisit fermement sa crinière rousse et l’attire entre ses jambes.
    
    — Lèche. Plus vite ; c’est tout ce que tu as appris depuis plus d’un an ici ?
    
    Estelle s’agite de plus en plus vite sur le gros manche. Est-ce que c’est de le voir entrer et sortir en elle ou la peur de me faire surprendre ? Je me sens fiévreuse, ...
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