1. Le plaisir à l'école


    Datte: 09/08/2019, Catégories: f, fh, ff, école, fsoumise, fdomine, contrainte, revede, fsodo, jouet, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... peine la moitié du gland, mes lèvres sont au bord de l’explosion.
    
    — En première année, on a toujours les yeux plus grands que la bouche.
    
    Elle jette la bite rose aux pieds de Sophie.
    
    — Tu n’as pas l’air très disposée à écouter les sages conseils d’une deuxième année, n’est-ce pas, Ève.
    — …
    — Peut-être n’ai-je pas été assez persuasive.
    — Si, bien sûr !
    — En es-tu certaine ?
    — Oui !
    — Je ne sais pas…
    
    Elle saisit un objet sur une étagère. Il ressemble à un gode, mais dont la base présente un léger renfort et se prolonge en une deuxième queue, un peu plus petite et plus large.
    
    D’un signe de tête, elle me fait mettre à genoux. Sa complice me positionne derrière Sophie.
    
    — Il faudra quand même que tu te fasses pardonner. Regarde-la, elle a cru que tu l’abandonnais.
    
    Sa main frôle ma cuisse, point de départ d’un frisson qui me traverse tout le corps.
    
    Je suis surprise par la douceur du jouet qu’elle m’impose juste sous le clitoris. La caresse est très douce sur mon petit bouton, mais l’écartement de mes chairs sur les premiers millimètres devient rapidement la sensation dominante. Elle me travaille, diablement efficace ; la progression est inéluctable. Je ne sais si c’est agréable ou désagréable. Le renfort entre les deux sexes bute sur mon pubis.
    
    Sophie n’esquisse pas le moindre mouvement quand sa culotte est abaissée juste au-dessus de ses genoux. Son petit brugnon blanc n’est plus parfaitement lisse, mais complètement fermé, ses cuisses à peine ...
    ... écartées.
    
    Je n’ai pas vraiment besoin qu’on me détaille ce qui doit suivre. Le coup de cravache envoie un signal assez clair à mon cul : « Il est temps de te bouger ! » Ma queue fait la fière, presque droite. Mon gland s’avance, s’ouvre le chemin et s’enfonce dans les profondeurs. Les lèvres se referment presque après lui pour caresser le bâton qui s’engage. Je ne parviens pas à tout rentrer. La butée repousse d’un rien l’engin en moi, suffisamment néanmoins pour faire comprendre à mon bas-ventre qu’il aurait peut-être intérêt à poursuivre ses efforts. Mes mains trouvent les hanches de Sophie, et suivant les instructions de mon bassin, imposent le rythme pour une pénétration appliquée. Le gode en moi est désespérément fixe. Seuls les coups de reins les plus percutants parviennent à réduire ma frustration. J’ai du mal à allier vitesse et profondeur. Les baisses de régime sont immédiatement sanctionnées par un vif claquement sur mes fesses. La violence l’emporte de plus en plus sur la régularité, les coups de cuir pleuvent. Le plaisir monte enfin. La cravache se calme, je vais plus loin, plus vite. Quelques tapes encore, qui me poussent au-delà des limites. Mes yeux se ferment, plus rien n’existe au-dessus de la ceinture. Entre le plaisir devant et la douleur derrière, le creux des reins a pris le pouvoir. Peu importe Sophie et peu importe cette chienne qui me dresse. Je me baise, à moi de me faire jouir. Il faut que j’y arrive, c’est monté trop haut, la chute serait trop dure. La ...
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