Le plaisir à l'école
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
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Auteur: Ellian, Source: Revebebe
... nouvelles et les anciennes. Et éviter les soirées bizutage. C’est pas dans l’esprit de la maison.
— Et il faut se déguiser en vampire, genre ado attardé aux dents longues bouffeur d’écran total ?
— Non ; tu choisis un truc qui te plaît. Un truc sexy ou pas. Ou sexy… ou pas. Ou sexy…
— J’ai saisi l’idée. Tu en as déjà choisi un ?
— Oui m’dame.
— Et c’est quoi ?
— Tu verras.
« Elle aime bien les cachotteries. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir trouver ? » Je garde cette question en tête toute la journée, sans parvenir à trouver une réponse acceptable.
Je décide de me rendre au dressing. J’y avais vu des tenues de déguisement la première fois. Et en effet je trouve assez vite quelque chose qui me plaît. Je jette mon dévolu sur un ensemble Catwoman. C’est une combinaison en simili-cuir, légèrement décolletée. Légèrement ? Non : décolletée plutôt franchement, en fait. Elle est accompagnée de cuissardes noires, brillantes et d’un masque de la même matière rehaussé de deux petites oreilles félines. Je trouve ma taille. Essayage rapide, impec. Voilà une bonne chose de faite.
On se sent ridicule en costume. Mais c’est là que c’est magique. Quand on se retrouve dans une salle pleine de gens ridicules, ça s’annule. Ridicule + ridicule + ridicule + ridicule = situation qui paraît complètement normale pour tout le monde.
Il y en a quelques-uns très réussis. Une petite poupée Kawaii. Beaucoup de pirates. Une infirmière ; c’est un peu cliché, mais il est top : le latex ...
... sculpte son corps de façon délicieuse. Celui d’Amaryllis est assez élaboré : un succube. Le fouet lui va si bien…
Je ne sais pas si c’est la plus originale, mais il y en a une qui a plus froid aux tétons qu’aux yeux. Elle est nue. Pas complètement, mais pas loin. Une liane lui plaque une feuille de vigne sur l’abricot. Une longue chevelure noire ondule dans son dos. Pas très naturelle ; une perruque, probablement. Ses pamplemousses se tiennent merveilleusement, pointés avec orgueil vers l’avant, les raisins au garde-à-vous. La cambrure de ses reins accentue la rondeur de ses deux petites pastèques. C’est la poire qui a croqué la pomme. Lorsqu’elle se dirige vers moi, mon cœur s’emballe. Je n’ai pas tout de suite identifié le corps, mais le visage de Sophie est reconnaissable entre mille, même sans sa crinière blonde.
— Alors, qu’est-ce que t’en dis ?
— C’est bien, c’est… très bien…
— Devine qui me l’a inspiré ?
— J’ai une vague idée… C’est relativement, un peu, assez dénudé, non ?
— On peut dire que je suis presque à poil, tout à fait. Toi, t’es habillée, mais ça te moule tellement qu’on ne rate rien. T’as les pointes qui ressortent : t’as froid, ou c’est moi qui te fais de l’effet ?
— Tu peux parler, toi !
— Ah… oui. T’as vu le buffet ? Ils se sont pas moqués de nous. Viens.
La soirée est agréable. Les costumes fournissent un bon sujet pour entamer les conversations. Ève – je veux dire Sophie en Ève – attire les regards et les attentions.
Amaryllis s’échappe ...