1. Le plaisir à l'école


    Datte: 09/08/2019, Catégories: f, fh, ff, école, fsoumise, fdomine, contrainte, revede, fsodo, jouet, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... la nuit. Ses lèvres sont brûlantes ; elles m’accueillent sans plus de formalités, sans surprise. Ma langue découvre sa bouche, rencontre la sienne. Elles valsent. Je me colle à elle, sans interrompre la danse. À tâtons sur ses seins, ma main trouve ses tétons. Je parviens à peine à les pincer, ils sont trop durs. Je ne résiste pas à l’envie de les sucer. Ils ont un goût de fraiseTagada, il faut bien que je les mordille un peu. Sa bouche me manque, j’y retourne très vite. Mes doigts glissent sur sa peau. Malgré la douceur de ses deux globes, j’ai envie de leur faire mal, de les malaxer, les pétrir, marquer mon empreinte sur eux. Est-ce qu’elle geint de douleur ou de plaisir ? Ma cuisse s’enhardit, enjambant la sienne. Le vibromasseur entre en contact avec ma fente. Ma chatte est déjà emportée par les flots. Je redescends encore un peu pour soulager mon petit bouton. Les vibrations m’emmènent. J’écrase mon clitoris sur le jouet. La première vague déferle. Estelle apprécie aussi, elle couine. Un petit coup en plus ; les vagues sont de plus en plus fortes, de plus en plus hautes. Le tsunami m’emporte. D’une main, j’enfonce cette queue mécanique en elle. Elle m’accompagne, plus démonstrative, plus bruyante que moi. Elle jouit en un cri puissant, puis d’autres, de plus en plus faibles. La danse n’est pas terminée, le rythme ralentit, bientôt la fin de la chanson. Je ne suis pas pressée de quitter ses lèvres. Elle n’est plus féline ; redevenue câline, elle me caresse le haut des ...
    ... fesses, le dos, dessine le contour de mes seins puis de mes aréoles. Les lignes courbes et les cercles s’enchaînent sur mon corps. Je quitte ses bras, Morphée m’emporte.
    
    Je m’éveille dans le lit d’Estelle. Elle est sous la douche. Je me sens beaucoup plus apaisée que ces derniers jours. C’est une journée qui commence bien.
    
    — Bien dormi ?
    — Plutôt, oui.
    
    Nous devons avoir l’air aussi béat l’une que l’autre.
    
    — Je prends ta place.
    — OK, bonne douche ! M’attends pas pour déjeuner, j’ai un truc à faire avant d’y aller.
    — Pas de souci. À tout’.
    
    Il manque quand même une baignoire ; j’adorerais un bain bien chaud. En même temps, vu le rythme, quand est-ce que j’aurais le temps de le prendre ? Je m’habille et rejoins Sophie qui, encore ce matin, déborde d’enthousiasme.
    
    — Tu as choisi quoi comme déguisement pour vendredi ?
    — Pour vendredi ? Il y a un truc spécial ?
    — Ben, la soirée. T’es pas au courant ?
    — J’ai l’air de l’être ?
    — Non, en effet… Tous les ans, il y a une soirée ; c’est déguisé. Ça tombe en général autour d’Halloween.
    — Attends, on fête pas Halloween quand même ? Ça craint !
    
    Des mioches qui se baladent à la nuit tombée dans les rues pour racketter des gens peinards chez eux, juste histoire de faire péter lehigh-score de caries lors de leur prochaine visite chez le dentiste… Sérieux…
    
    — Mais non : c’est à cette période, c’est tout. Bon, il y a peut-être l’idée des déguisements qui vient de là, mais sinon c’est pour faire se rencontrer les ...
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