La logeuse, ou : "une passion anthologique"
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
hépilé,
fdomine,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
bourge,
Auteur: ErosWay, Source: Revebebe
... je ressortais le pouce ruisselant pour titiller le petit bouton, don des dieux à la meilleure part de l’espèce humaine.
Dans le même temps, avec mon autre main, j’entreprenais de pénétrer son anus : d’abord un doigt, puis deux, puis trois… elle gémissait mais poursuivait sa lecture.
Tout en lisant d’une voix hachée, Anne remontait ses fesses pour venir s’empaler sur mes trois doigts, écartelant ainsi son œillet, puis elle les rabaissait pour faciliter la caresse du clitoris et la pénétration du vagin. Elle dégoulinait littéralement sur mes mains. J’enlevai alors mes doigts de son rectum et, tout en poursuivant les caresses sur sa chatte, je me mis à lui lécher le trou du cul. Enfonçant le plus loin possible ma langue, ramonant son petit volcan d’amour.
— Oui, Aurélien, c’est bien, c’est ça, enfonce ta langue, dévore moi… dévore moi, oui, je suis à toi.
Je goûtais avec passion au goût poivré de son anneau, léchant à qui mieux mieux, l’aspirant et le mordillant, chose qu’elle appréciait particulièrement.
L’écoute de la voix rauque d’Anne ajoutée aux caresses que je lui prodiguais me firent perdre tout contrôle. Je lâchai sa chatte, arrachai mon caleçon et, présentant mon gland à l’orée de ses grandes lèvres, la pénétrai profondément. Elle poussa un cri de plaisir et se mit à me pomper littéralement la queue avec ses muscles vaginaux. La sensation était extraordinaire. J’allais et venais dans son brûlant fourreau, et elle me pressait le membre à chaque aller. ...
... Heureusement, grâce à son programme de « traite » quotidienne, je pouvais me retenir d’éjaculer.
Elle lâcha définitivement le livre et me demanda de ralentir. Ainsi, je me mis à ressortir doucement ma queue, puis à l’enfoncer très lentement pour sentir le doux contact des petites lèvres épouser au plus juste ma verge au passage. Elle continuait à faire jouer ses muscles internes, à chacune de mes poussées, comme un lent massage.
Je finis par ressortir totalement pour écarter ses fesses et goûter à nouveau son œillet au goût poivré. Puis j’arrêtai pour fourrer, en lieu et place de ma langue, ma queue brûlante dans son fondement. Elle poussa un gémissement presque bestial. Elle avait atteint elle aussi le point de rupture.
Le brûlant fourreau m’accueillit et d’un seul coup, d’un seul, j’écrasai mes couilles sur ses fesses. Puis je me mis à la pilonner tout en malaxant ses seins. Elle divaguait, criant des mots obscènes, jouissant de sa complète soumission. De son don de soi.
Je ressortis ma verge à l’orée de la couronne puis je m’enfonçai de nouveau de plus belle. Je lâchai soudain son sein pour frotter son clitoris avec un doigt enduit de mouille. Elle se mit alors à jouir, ce qui déclencha ma propre jouissance. Je me déversai à grands jets dans son rectum. Puis j’y restai, épuisé, assommé, jusqu’à ce que la détumescence fasse déculer ma queue.
Nous n’en avions pas fini avec mon éducation littéraire : l’enfer de feu Monsieur de Sertange était pavé de nombreux ...