1. La logeuse, ou : "une passion anthologique"


    Datte: 09/08/2019, Catégories: fh, fplusag, hépilé, fdomine, odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, bourge, Auteur: ErosWay, Source: Revebebe

    Ceci est le récit d’une des périodes les plus marquantes de ma vie. Un moment qui m’a laissé des souvenirs intenses, et quelques regrets aussi…
    
    Je venais de remporter un concours dans une banque, qui m’obligeait à effectuer un stage d’une année dans une des villes où la banque était présente. Ce fut Valence, une ville que je ne connaissais absolument pas. Mon a priori était plutôt favorable : originaire de Rouen, je rêvais de soleil et pour moi Valence, eh bien, c’était déjà le Sud.
    
    En quête d’un logement, je finis par opter pour une chambre « chez l’habitant » car je ne voulais pas me retrouver seul le soir.
    
    Je m’installai donc « chez l’habitante » : Madame de Sertange, veuve de son état, encore très belle femme. De beaux cheveux bruns mêlés de gris, des yeux bleu nuit, une bouche pulpeuse, une belle poitrine. Le tout fondu dans l’allure générale d’une belle bourgeoise de province. Laissée en jachère… mais ça, je ne le savais pas.
    
    Passons sur les détails d’une relation qui me devint progressivement indispensable. Madame de Sertange, Anne de son prénom, exerça pendant l’année que je passai à Valence une emprise totale sur moi. Au point que je ne sortais plus, attendant avec impatience les longues soirées que nous passions ensemble. Progressivement, avec l’habileté consommée d’une véritable mère maquerelle, elle avait su m’amener à partager sa passion de l’érotisme… tout en m’imposant ses goûts.
    
    Ainsi je peux dire que, durant cette année-là, même si parfois je ...
    ... fis l’amour comme je le voulais, elle me manipulait complètement. Presque chaque soir Anne de Sertange m’accordait sesprivautés, comme elle disait. Elle venait dans ma chambre alors que j’étais au lit, prêt à m’endormir ; bien entendu je l’attendais, et elle me caressait. C’était bon et à chaque fois différent, elle se servait avec une habileté diabolique de ses mains, de ses pieds, de ses seins et de sa bouche. Ainsi, tous les soirs, sauf un, elle venait metraire, comme elle disait. Elle me tenait « par la queue », au sens propre du terme.
    
    Mais ce ne sont pas ces cajoleries, au demeurant délicieuses pour votre serviteur, qui sont l’objet de ce récit. Car un soir de la semaine était consacré à la culture. À chaque fois, je découvrais une œuvre différente. Anne de Sertange puisait à volonté dans l’enfer de la bibliothèque de feu son mari.
    
    Premier soir de lecture
    
    Alors que j’étais assis sur mon lit, le dos contre l’oreiller, Madame de Sertange me tendit un premier ouvrage d’où émergeait un beau marque-page doré en forme de phallus.
    
    — Ouvre le livre à la page marquée et commence la lecture. N’oublie pas : tu lis lentement, et suffisamment fort.
    
    Je pris l’ouvrage de ses mains et l’ouvris sur un premier texte. Alors que je m’apprêtais à lire, Anne de Sertange fit doucement glisser mes draps et ma couverture afin de me découvrir totalement. J’étais en caleçon.
    
    — Ne t’occupe pas de moi, commence ta lecture. Tu sais que j’ai besoin de cela pour m’exciter… et tu sais ...
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