La logeuse, ou : "une passion anthologique"
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
hépilé,
fdomine,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
bourge,
Auteur: ErosWay, Source: Revebebe
... blanches de jeunes agneaux couvrait le plancher et au milieu, sur un vaste divan, s’étalait la fourrure d’un ours polaire.Je commençai par masser doucement chaque fesse en prenant soin de les écarter fermement avec mes mains. Je savais qu’elle adorait sentir son anus écartelé. Il était là, sous mes yeux, tapi au fond de la raie des fesses. Tout propre et sans poils. Tout rose aussi, d’un rosé foncé… et froncé. Je tirai sur une fesse, puis sur l’autre avec l’autre main, faisant s’ouvrir à chaque traction le petit trou… Elle reprit sa lecture après quelques minutes de silence, savourant ce moment d’intense intimité.Au dessus de ce meuble unique, une lampe d’argent ancienne, provenant de quelque église byzantine ou d’une synagogue d’Orient, répandait une pâle lumière, suffisante pour éclairer ce temple de Priape dont nous étions les adorateurs.Tout en poursuivant mon lent massage des fesses je positionnai mes pouces de façon à pouvoir atteindre sa vulve. Pour faciliter l’accès, je pris un oreiller que je plaçai d’autorité sous son bas-ventre. Cela ne l’empêchait nullement de lire et moi, je disposais ainsi d’une vue imprenable sur son intimité, sur ses orifices de l’amour. Depuis, avec le recul, je me rends compte qu’Anne de Sertange avait un sexe magnifique. Elle s’épilait habituellement mais cette fois-là elle avait décidé de n’en rien faire, aussi je pouvais admirer sa vulve sous une fine toison brune. Les grandes lèvres, légèrement gonflées déjà, se refermaient ...
... parfaitement, non sans laisser apparaître le fin ourlet des petites lèvres, que je voyais s’humidifier progressivement. Ainsi, tout en ouvrant le plus possible ses fesses, j’utilisais mes pouces pour écarter les grandes lèvres. Dieu que c’est beau une femme !Je sais, me dit-il, que le blanc est ta couleur favorite ; il sied à ton teint brun, c’est pourquoi je l’ai adopté pour toi, pour toi seul. Nul autre n’entrera ici. Et aussitôt, avec dextérité, en un clin d’œil il me dépouilla de tous mes vêtements ; je me laissai faire, étant entre ses mains comme un enfant endormi ou un homme en extase. En moins de rien, je me trouvai complètement nu, étendu sur la peau d’ours, et lui, devant moi, me contemplait avec des yeux dévorants.
La voix d’Anne était rauque. Elle n’était pas insensible à mes caresses. J’aurais souhaité m’occuper de ses seins, triturer ses tétons, mais la position ne le permettait pas. Je me contentai donc des trésors qu’elle m’offrait si volontiers. Une odeur enivrante montait doucement de sa vulve gonflée. Je bandais dur mais j’avais conservé mon caleçon. Effectivement, moi aussi, je mouillais beaucoup, et je risquais de me répandre goutte à goutte sur elle.
J’empaumai alors sa vulve avec la main gauche, mon majeur posé sur son clitoris, tout dur à présent, et mon pouce enfoncé entre les lèvres. J’alternai ensuite entre la caresse du clitoris et la pénétration de mon pouce. Lorsque celui-ci s’enfonçait dans la chaleur affolante de son vagin, mon majeur reculait, puis ...