1. La logeuse, ou : "une passion anthologique"


    Datte: 09/08/2019, Catégories: fh, fplusag, hépilé, fdomine, odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, bourge, Auteur: ErosWay, Source: Revebebe

    ... lécher.
    — Pas ce soir, lis !
    
    Je repris ma lecture, malgré ma verge dure, dure, dure… animé dudur désir de durer
    
    Anne me tétait régulièrement maintenant. J’éprouvais une difficulté croissante à lire. Elle me suçait divinement tout en remontant mes couilles régulièrement avec sa paume, le majeur fiché dans mon cul. Je repris ma lecture, la fin du chapitre approchait… ma fin aussi.Le résultat de ces mignonnes caresses fut une double éjaculation de la part des deux hommes, Maurice dans la bouche d’Archibald et Archibald dans la bouche de Lucette.Je sentis mon jus monter, monter, et j’éjaculai à mon tour puissamment dans la bouche avide d’Anne de Sertange qui continua à me sucer le gland doucement jusqu’à la dernière goutte de semence. Puis elle se redressa sur son séant. Je voyais parfaitement poindre ses tétons à travers sa robe de chambre en soie et j’étais certain qu’elle devait littéralement dégouliner entre les cuisses. Elle comprit parfaitement ce que j’avais en tête.— Désolée, Aurélien, pas ce soir. Tu m’as donné beaucoup, ne t’inquiète pas, j’ai joui lorsque j’ai senti ton chaud liquide se déverser dans ma gorge. Demain, c’est moi qui te ferai la lecture. Et tu pourras me caresser. Je serai à toi, comme promis.Elle me donna un doux baiser sur les lèvres comme chaque soir, me faisant ainsi sentir mon propre goût, puis elle s’éclipsa, me laissant à ma plénitude.Deuxième soir de lectureLorsque j’entrai dans sa chambre, Anne de Sertange était allongée sur son lit, ...
    ... sur le ventre, les yeux posés sur un livre.— Entre donc, Aurélien, et referme soigneusement la porte derrière toi. Je préfère.J’entrai donc, et m’avançai à genoux sur le lit qui était immense. Anne était vêtue d’une simple chemise de nuit blanche, en dentelle, qui me laissait deviner l’absence totale de sous-vêtements. Pour ma part, j’étais en caleçon et tee-shirt.— Enlève ton haut mais garde ton bas, je ne veux pas te sentir goutter sur moi pour le moment.J’obtempérai comme d’habitude, et m’approchai d’elle.— Maintenant tu vas commencer par t’occuper de mes fesses pendant que je vais te lire des extraits d’un très bel ouvrage d’Oscar Wilde. Tu connais Oscar Wilde ?— Eh bien, j’ai lu le fameuxPortrait de Dorian Gray.J’étais adolescent, c’est un livre qui m’a beaucoup marqué.— Oui, un vrai chef d’œuvre. Celui que je vais te lire est aussi un chef-d’œuvre, mais méconnu. Publié sous un nom d’emprunt. Caresse-moi maintenant, je vais commencer la lecture.Je relevai aussitôt sa chemise de nuit ; je procédai doucement afin qu’elle sente le tissu découvrir progressivement sa peau… d’abord le creux des genoux, ensuite les cuisses… puis les fesses, magnifiques. Et enfin, je remontai le plus loin possible jusqu’au cou en dégageant doucement les seins que je savais imposants. Elle commença sa lecture au moment où je posais les mains sur ses fesses.C’était une pièce fort originale, capitonnée d’une épaisse étoffe blanche fixée au mur par des boutons d’argent ; un tapis formé des toisons ...
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