1. La logeuse, ou : "une passion anthologique"


    Datte: 09/08/2019, Catégories: fh, fplusag, hépilé, fdomine, odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, bourge, Auteur: ErosWay, Source: Revebebe

    ... aussi que tu ne le regretteras pas.
    
    Je souris, et commençai à lire :
    
    Pendant que je m’attachais à lire du mieux possible, Anne glissa doucement sa main sous mon caleçon. Je sentis ses doigts effleurer mes bourses, doucement, très doucement… Elle se contentait de me caresser en faisant doucement rouler mes testicules, ce qui eut pour effet de me faire bander.
    
    — Continue ta lecture, Aurélien, ne te laisse pas distraire. Tu connais la règle du jeu : plus tu lis, plus je vais loin, mais à mon rythme. Et si je suis très excitée, tu sais que je serai à toi, totalement.
    
    Je repris donc ma lecture, mon excitation décuplée par ses derniers mots… Oui, j’adorais sa bouche, son cul, son con moelleux… mais il me fallait les mériter. Je poursuivis donc.
    
    Anne décida à ce moment-là de m’enlever mon caleçon. Elle le fit glisser doucement, tirant assez fort pour faciliter le passage de ma verge tendue, et me l’enleva d’autorité. J’étais sa chose… Puis elle posa sa tête sur le haut de mes cuisses, la bouche presque collée à mes bourses. Elle s’empara de mon gland, déjà très humide, avec son autre main et se mit à souffler doucement sur le scrotum, suscitant, à chaque souffle, des ondes de volupté.
    
    — Aurélien, murmura-t-elle dans un souffle, poursuis la lecture. Lis ! Lis te dis-je !
    
    Galvanisé par la chaleur de son souffle sur mes couilles et par le jeu de ses doigts sur mon gland, je repris la lecture.
    
    Sans aucun doute émoustillée et inspirée par ma lecture, Anne de ...
    ... Sertange se mit à me lécher doucement les couilles, tout en glissant un doigt humide de salive entre mes fesses. Là, elle se contenta de patiner lentement mon petit trou, en cercle, comme si elle comptait les sillons de mon œillet les uns après les autres. Avec son autre main, elle se contentait de tenir ma queue, le pouce sur le gland afin d’étaler ma mouille au fur et à mesure de ma « production »…
    
    — Aurélien, je t’en prie, lis !
    
    Pour ne pas être en reste, Anne entreprit d’absorber un à un chacun de mes testicules tout en enfonçant son doigt dans ma rosette si savamment adoucie. Les bruits de succion m’excitaient au plus haut point. Elle m’avait imposé le rasage soigné des couilles et de la raie des fesses, mais je dois dire que j’en savourais tous les bienfaits. Elle me mangeait ainsi doucement les bourses, tout en me ramonant, son pouce de la main gauche n’ayant pas cessé de tourner sur mon gland, passant parfois sous la couronne…
    
    Une morsure bien placée me ramena à ma lecture. Je bandais comme un âne, je ne rêvais que d’expulser mon foutre mais il fallait que je lise…
    
    Je gémissais moi aussi. Anne avait entrepris maintenant de me sucer la verge tout en maintenant un doigt dans mon cul, son pouce appuyé sur mes bourses. Sa langue remontait jusqu’au méat, y cueillait sa récompense salée puis descendait jusqu’à l’orée des couilles. C’était délicieux.
    
    Elle s’interrompit cependant :
    
    — Lis, mon Aurélien, lis !
    — Mais j’ai envie de toi, Anne, je voudrais aussi te ...
«1234...»