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Luce bourgeoise adultère malgré elle (9) : La "serial seductress" s'écarte de son chemin
Datte: 02/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds
... acharnement dont elle ne maîtrisait plus rien. Tandis que Benjamin essayait de réaliser ce qu'il venait de subir, Luce décolla sa combinaison de son corps ruisselant puis arracha plus qu'elle ne dégrafa son soutien-gorge sans même prendre le temps de laisser admirer ses petits seins gonflés et provocants pour venir s'allonger sur son éphèbe. Celui-ci, qui dans un sursaut maladroit avait actionné la vidange de la baignoire, était ébloui par le buste laiteux qui s'écrasa sur sa poitrine pour une sensation délicieusement nouvelle. Luce, étendue de tout son long sur le jeune corps, fut saisie d'une frénésie affolante lorsqu'elle sentit la queue raide prisonnière de leurs ventres mêlés. Aussitôt elle saisit le bord de sa petite culotte pour la tirer et la faire glisser sur ses cuisses, ce qui engendra une ardeur maximale du jeune homme sous l'effet des frottements intempestifs du corps féminin sur le sien. La belle bourgeoise, qui n'avait plus que ses bas et son porte-jarretelles comme parures, revint recouvrir de son corps le garçon qui sentait venir ce Grand Moment qu'il avait tant souhaité sans oser jamais l'espérer. Elle l'embrassa à nouveau dans un baiser moins désordonné mais tout aussi voluptueux et elle sentit dans sa bouche la stupeur du jeune homme quand elle saisit entre ses doigts la tige raide et fine. Elle infligea alors à la jeune bite savoureusement prétentieuse un traitement fait de douceurs et d'habiletés canailles qui arracha à Benjamin soupirs, ...
... gémissements, plaintes, grognements, rugissements, prières et surtout des silences crispés qu'elle respecta pour que les braises sur lesquelles elle soufflait ne s'enflammassent trop vite. Lorsqu'elle eut épuisé tout le savoir-faire de ses doigts de fée lubrique ; lorsque le gland fut définitivement sorti de son prépuce, rougi et poli par les attouchements ; lorsque la tige, repue d'être branlée, n'en put plus d'affirmer sa virilité enfin prête à pénétrer l'antre de la femme ; lorsque les couilles pétries avec délicatesse furent pleines de leur jus coupable ; alors elle se souleva pour diriger le chibre innocent vers son vagin avide. Benjamin aurait voulu que cet instant restât suspendu pour mieux en mesurer le bonheur mais il se laissa guider doucement par la main experte qui lui fit découvrir des sensations aussi inconnues qu'ensorceleuses : la souplesse du ventre sur lequel son gland roula ; le chatouillement divin des poils touffus du pubis ; la glissade entre les lèvres poisseuses ; l'arrêt sur le bouton rond et lisse dardant sur son méat ; l'instant fatal de la plongée dans la grotte obscure et si problématique ; la sensation de fraîcheur sur son gland chauffé à blanc comme l'acier d'une dague en fusion ; le ruisseau visqueux bouillonnant au débit sans cesse renouvelé ; les parois souples et étreignantes du fourreau qui empoignaient comme un étau la jeune queue impatiente. Les deux amants fusionnaient dans une étreinte pourtant perçue très différemment. Benjamin se perdait dans ...